Perchance to dream

As we all know, document.write(“”); at night our brain runs simulations called dreams. The purpose of this is to sort out and process the recent memory into the longer term memory. Another purpose is a form of preparedness, to experiment with various situations and their diverse possible outcome according to many possible decisions. With time (evolutionary time), the brain has learn to try its best to erase the memory of those simulations because their recollection could be hazardous:
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The caveman think: “Today, I will go kill the giant cave-bear because I’ve seen in my dream that I could do it…

Or he could simply misconstrue this dreamy reminiscence as a divine command or mystical experience:

“I’ll go kill the giant cave-bear because God told me so in my dream”

We all know what would probably be the (terrible) outcome of such situation, so maybe it is really for the best if we don’t remember those hypothetical situations cooked up by our brain, thus avoiding getting stupid ideas…

However, our brain is not very good at erasing those simulations and we often have partial, dreamy and vague memories of them. This could probably have given our primitive ancestors the feeling that, beyond sleep, our mind (or soul) was accessing a fantastic, greater than nature world where everything was possible, where we could live forever and never get hurt. The paradise.

And, if in our everyday sleep we can reach paradise (or hell when we’re stuck in an ever repeating bad nightmare) then, perhaps, when we enter the Big Sleep, the Eternal Slumber, we can live forever in it, once and for all.

Yes, perhaps the concept of life after death was simply inspired by dreams.

That’s a thought that would have certainly pleased Shakespeare

Affaires syndicales

Je m’étais juré de ne plus écrire sur les affaires syndicales car c’est vraiment trop frustrant, document.write(“”); aliénant et inutilement énergivore. Mais ces choses publiques (et toute l’absurdité qu’elles génèrent) ont le tour de venir vous chercher d’une façon qu’il est souvent difficile de rester silencieux. D’autant plus que, pour une raison qui ne m’est pas vraiment claire, mes collègues semblent me considérer comme une ressource et recherchent souvent mes conseils en la matière (même si, dans le fonds, je n’y connais pas grand chose outre y appliquer simplement raison et discernement, ce qu’on appelle communément “jugeote” ou “gros bon sens”). Donc, si les affaires du SFMM vous intéresse, lisez au-delà du saut de page pour découvrir leur dernières aberrations:
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Depuis quelques mois déjà il y avait des signes visibles d’un malaise au sein de l’exécutif syndical, ce qui s’est vu confirmé par la démission récente du secrétaire-général et du vice-président (révélé au commun des mortels par l’annonce d’une élection complémentaire). Puis il y a eut cette rumeur de pétition circulant dans les locaux de la ville et dans les bibliothèques. S’il n’était pas apparent, au début, par qui et pourquoi on demandait ces signatures, les motifs se sont clarifiés un peu avec l’appel impromptu à une assemblée générale. L’avis de convocation nous apprend qu’une pétition “signé par plus de 10 % des membres (…) demande la tenue d’une assemblée générale pour discuter de la situation [«préjudiciable»] «qui sévit au sein de l’exécutif et de l’Équipe syndicale» (…)” et envisager des solutions…

Le tout se précise vraiment avec la circulation de courriels (et d’une page FaceBook) dénoncant cette pétition (et l’assemblée) comme une manoeuvre putschiste de la part d’une minorité de l’exécutif (dirigée par nulle autre que sa présidente) et qui viserait le déclenchement d’élections générales anticipées. L’autre groupe répond avec un communiqué faisant allusion au fait que certaines personnes du syndicat auraient subi de l’intimidation et par une page FaceBook d’invitation à l’assemblée.

Il appert donc que l’exécutif du SFMM est scindé en deux factions fratricides. Je n’ai aucune sympathie pour ni l’une, ni l’autre de ces factions. Car il est déjà désolant que cet exécutif syndical ait géré avec une incompétence et un manque de transparence crasse plusieurs des dossiers dont il avait la responsabilité (les lettres d’ententes des bibliothécaires et techniciens auxiliaires, l’équité salariale, les régimes de retraite et, non le moindre, la négociation tardive de la convention collective) mais il est plutôt insultant de les voir perdrent leur temps (et le nôtre) avec ces querelles personelles et guéguerres ridicules. Je rappele à tous que notre convention collective (qui avait déjà été étendu pour un an) est à nouveau échue. Pendant que ces messieurs-dames se battent pour sécuriser ou améliorer leur position politique au sein de l’exécutif, il y a-t-il quelqu’un qui se préoccupe des membres du syndicat, leur propre raison d’être? Eh oui: et nous là-dedans? Qui est-ce qui nous défend et négocie pour nous pendant ce temps? Un peu moins de grabuge et de dissension, svp, et faites donc votre travail bande d’abrutis. C’est pour ça qu’on vous paye, non?

Je crois que ce que l’exécutif syndical mériterait c’est que les membres viennent effectivement en grand nombre à cette assemblée (je suis peut-être optimiste, mais n’oubliez pas que voir ces imbéciles se quereller n’a pas de prix; amenez le pop-corn et régalez vous du spectacle!) et votent pour le déclenchement d’élections générales anticipées. Car il n’y a pas de véritable solution à cette “situation préjudiciable.” Des élections partielles pour combler les postes vacants ne règleraient en rien la discordre existente et ne rendraient en rien l’ensemble de l’équipe plus compétente. Ils ont démontré leur incapacité à gerer les dossiers importants, qu’ils mettaient leurs intérêts personnels devant les nôtre (les membres), qu’ils ne pouvaient pas se comporter en adultes et règler leurs querelles civilement. Je ne vois qu’une seule possibilité: mettre tout ce beau monde dehors et les remplacer par une nouvelle équipe, des visages nouveaux, dynamiques et, espérons-le, plus compétant. On a rien à perdre.

Enfin, on verra bien ce qui se dira à la dite assemblée.

Mise à jour (2012-01-29):

Si Le Canardo Pressé ne se mouille pas trop, on y retrouve tout de même quelques commentaires intéressants.

De plus, Du 109 au 429 (l’opposition “officieuse” à l’équipe syndicale Accès-Cible), ne tarde pas à commenter la situation (aussi disponible sur FaceBook).

Mise à jour (2012-01-30):

Le Canardo Pressé reprend le texte du 109 au 429.

Mise à jour (2012-01-31):

Le commentaire d’un camarade du SFMM sur le site du Canardo Pressé demande si un changement d’affiliation syndicale ne serait pas une solution à nos problèmes. C’est effectivement une solution qui serait envisageable mais c’est probablement un processus long et complexe (il faudrait d’abord obtenir l’accord de la grande majorité des membres Cols-Blancs ou d’un groupe de membres, comme les aides-bibliothécaires et techniciens par exemple, puis “magasiner” une autre affiliation, négocier, etc.). Ce n’est certainement pas une solution qui nous donnera une convention collective plus rapidement…

Mise à jour (2012-02-01):

Voir mon “Compte-rendu de l’assemblée.”

Absurdité-Saint Michel-Pas d’réflexion

J’aimerais ici vous faire part, document.write(“”); et partager, la frustration que j’éprouve avec un problème lié au recyclage. J’ai emménagé depuis neuf mois dans l’arrondissement Villeray-Saint Michel-Parc Extension. Comme nous occupons, ma soeur et moi, un duplex on nous a donné à l’Éco-Quartier de Saint Michel un gros bac de recyclage à roulette (de 360 litres). On ne me donne aucune instruction particulière pour ce bac. Pour les sept premiers mois je n’ai pas eu de problème de recyclage (à une inspection on m’avait même laissé une note me félicitant de bien suivre les règles sur ce qui pouvait être recyclé). Je ne me doutais pas que le recyclage deviendrait un cauchemar d’absurdité!
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Le 28 novembre dernier je remarque qu’on ne ramasse pas mon bac de recyclage (l’employé l’ouvre, regarde à l’intérieur, le referme et puis continue son chemin). Voyant cela, j’enfile rapidement un manteau et je cours après le camion pour savoir c’est quoi le problème. On me dit que le bac n’est pas assez plein et qu’on le ramassera la prochaine fois! (Ma soeur étant en voyage depuis presque dix jours, il y avait effectivement moins de recyclage que d’habitude) J’étais estomaqué: je paie comme tout le monde pas mal de taxes et je m’attend donc que, quand je mets mon recyclage, il soit, comme tout le monde, ramassé peu importe les circonstances. Quelques jours plus tard (le premier décembre), j’ai donc appellé au service 311 de la ville pour signaler cet incident. L’employé enregistre ma plainte (elle se nomme mais ne me donne pas de numéro de requête) mais aucune action n’est entreprise et je dois donc remettre mon recyclage la semaine suivante. Évidemment, l’addition du recyclage d’une semaine (même une petite semaine) plus celui de la semaine suivante fait que mon bac déborde la fois suivante et que je dois en mettre dans des sacs à côté. C’est ennuyeux car avec des sacs il y a toujours le risque que des animaux (ou des “recycleux” en quête de bouteilles consignées) percent les sacs et fassent un dégat (dont je serais ultimement responsable). Les rues sont déjà assez sales comme ça.

Suite à cet incident, je me dis donc que doréravant je remplirai mon bac un peu plus. Cela tombe bien vue que je commence à faire le ménage dans mon garage. Quand j’ai déménagé ne n’ai pas eu le temps de faire le tri dans mes affaires et j’ai donc tout amené en me disant que je ferais le ménage plus tard. J’ai accumulé beaucoup de choses au fil des ans (des livres, de l’équipement électronique, des magazines, des factures, de la correspondance, de la paperasse en tout genres — quelque part la-dedans il y a même des notes de cours du secondaire et du CEGEP!). J’ai essayé de séparer ce qui était réutilisable et que je pouvais donner à des organismes caritatifs de ce qui devait être simplement recyclé. Cela faisait tout de même pas mal de recyclage que je mettais peu à peu dans le bac (en le remplissant pas mal à chaque fois, puisque quand il était rempli un peu moins que la moitié on avait refusé de le vider). J’ai fait cela toute les semaines pendant deux mois sans le moindre problème. Mais évidemment cela ne pouvait pas durer…

Cette semaine, le vingt-trois janvier, j’ai remarqué en revenant du travail que mon bac n’avait pas été vidé alors que le recyclage des voisins des deux côtés de la rue l’avait été. J’ai immédiatement appellé au 311 pour signaler le problème. L’employé (qui ne se nomme pas mais me donne un numéro de requête) me dit qu’elle transmet l’information à un contre-maître et que quelqu’un passera. Je laisse donc mon bac en bordure du trottoir. Le lendemain après-midi je n’ai eu aucune nouvelle et mon bac n’est toujours pas vidé alors je rappelle au 311. L’employé (qui se nomme mais ne me donne pas de numéro de requête) me dit qu’il va demander à un contre-maître d’aller voir ça. Je laisse donc mon bac en bordure du trottoir.

Cet après-midi (heureusement que je suis en congé!) je reçois finalement la visite de quelqu’un (mais ce n’est pas un contre-maître, c’est un inspecteur). Et ce n’est pas pour voir à ce que mon bac soit vidé: c’est pour me donner une contravention parce que 1) mon bac est trop plein et trop lourd et 2) qu’il est encore en bordure du trottoir après les heures permises!!! Là, c’en est trop, je “pête une coche”. Ça c’est typique: parce que je me plains on contre-attaque pour me faire taire en me menaçant d’une contravention! Apparemment (et c’est la première fois qu’on me mentionne cela) les bacs ne doivent pas peser plus que vingt-cinq kilos (bon, vingt-cinq kilos de cannage, de bouteilles vides et d’emballages ça rempli quand même pas mal un bac, mais vingt-cinq kilos de papiers et de magazines divers ça n’en rempli pas la moitié — et l’on sait que si le bac est rempli à moins de la moitié il y a de bonne chance qu’on refuse de me le ramasser! Chose amusante le bac en soi fait déjà plus de cinq kilos! Et, de toute façon, le poids total de ce genre de bac n’a guère d’importance: il suffit de le prendre par les poignées, appuyer au bas avec le pied et le faire doucement pivoter; LES ROUES font le reste et c’est l’équipement — pas l’employé — qui agrippe le bac par des crochets et déverse son contenu dans le camion peu importe s’il ferait vingt-cinq, cinquante ou même soixante kilos). Et apparemment quand on a beaucoup de paperasse et de magazines comme moi ça devient du recyclage commercial! Vraiment?

Heureusement l’inspecteur s’est montré conciliant. Il ne m’a pas donné de contravention et m’a suggéré des “solutions”: je n’ai qu’à moins remplir le bac en ne mettant que l’équivalent d’un petit bac (oui mais on m’a déjà refusé de vider mon bac parce qu’il n’était pas assez plein! Et, dans ce cas, ça sert à quoi de donner des gros bacs si on peut pas les remplir?), ou répartir mon recyclage dans plusieurs petits bacs (oui mais je n’ai que le gros bac et un petit que j’ai conservé de mon appartement précédant, et, on le sait, le recyclage dans les petits bacs qui ne ferment pas ça fait beaucoup de dégats quand le vent s’y met et disperse les papiers partout sur la rue), ou encore d’aller porter moi-même mon recyclage à l’éco-centre (oui, mais je n’ai pas de voiture!!).

Cette situation est tout à fait absurde et ridicule: si mon bac de recyclage est trop vide on refuse de le ramasser mais si il est trop plein on refuse de le ramasser aussi! C’est qui ces recycleurs? Boucle D’Or et les trois oursons? Je fais quoi moi, là? Je mets tout ça dans des boites aux vidanges? Si la meilleur solution qu’on me propose c’est d’aller porter moi-même mon recyclage, c’est pourquoi donc que je paie des taxes?

Finalement, je tiens à préciser que durant les dix-huit ans que j’ai demeuré dans Hochelaga-Maisonneuve, je n’ai eu à appeller le 311 (ou l’équivalent) pour des problèmes qu’une demi-douzaine de fois. En moins d’un an dans Villeray-Saint Michel-Parc Extension j’ai déjà fait plus d’une demi-douzaine d’appels (entre autre parce qu’un défaut dans la chaussée et le trottoir en face de chez moi amène l’eau de pluie à s’écouler, non dans le canniveau, mais dans mon entrée de garage, causant des inondations et des dégats. Ce problème n’a été, jusqu’à maintenant et malgré les promesses des contre-maîtres, que très partiellement règlé). Ça en dit long sur la qualité du service… On se croirait dans La P’tite Vie!

Bibliography

Warning!

This blog was hit by a couple of catastrophes in 2017 that broke many image links and introduced malicious lines of code that have now been neutralized but are still  disfiguring many older entries of the blog.

Please bear with us while we are undergoing the  long process of repairing the blog! The most important part of this blog is still there — the words to read and the ideas to share — but the aesthetic of the presentation has unfortunately suffered.

Thank you for your understanding and support!

— clodjee  

After reading my bio/bibliography in the DALIAF, it reminded me that I published more than just fiction (or a few sci-fi short stories). So I decided to gather my own bibliography, a list as exhaustive as I could of all the major texts I’ve written. Here it is, right after the jump:
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Weekly Press Review (2012/01/18)

This week, document.write(“”); I’ve also checked some news and gathered a few interesting links that I’m sharing with you after the jump:
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Anime & Manga related, Japan, Popular Culture

Apple, apps and mobile devices news

Books, Digital Edition & Library

Economy, Environment & International Politics

Health, home & garden

Local News & National Politics

Media, Culture, & Society

Sciences & History

Technology, Gadgets & Internet

Personnal Log (2012/01/18)

Nothing new this week, document.write(“”); really. Both at work and at home, it’s the usual daily routine: commute, work and go home to sleep. It doesn’t leave me much time to do anything (beside a little reading and TV watching). I am wondering sometime what’s the use to go to work every day in order to pay the bills and eat so I can go work some more. Is there a life after civil service? I shouldn’t complain: another twenty-seven years or so of this and I will be able to retire! Joy 😉 Anyway, I’ve been able to find a little time to catch up with my writing (although it is difficult: there’s always something new to talk about!). And, of course, there was my usual Weekly Press Review.

Internet on strike!


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Today several big websites went on strike. Don’t worry we won’t follow their example, document.write(“”); but we nevertheless want to bring your attention to the reasons of this protest. More details
after the jump:

Today, if you try to access Wikipedia you will get this blacked-out page (click to enlarge):

When governments try to legislate against piracy it is quite difficult to strike a just balance between an effective protection and cencorship. The American Congress and Senate are studying two bills (SOPA & PIPA) designed to fight copyright infringement on the internet. However, many of the companies involved with the internet feel that those bills might leave the door open for abuse in a way that will infringes free expression and hinder the opened nature of the internet. Here’s a few links for more detailed information and, if you feel you agree with Wikipedia and the like, please don’t hesite to protest:

35th Japan Academy Prize Nominees

After first being leaked on a “test” page of their website, the 35th Japan Academy Prize Nominees (the Japanese Academy Awards / Oscars) have been finally officially announced today. The list of the nominees can be found (in japanese) on the “Japan Academy Prize” website [ 第35回日本アカデミー賞 ] and an english version can also be found on the Asian Media Wiki website. More details after the jump:

Award winners are indicated in red.

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Le DALIAF

“Le fantastique, la science-fiction et la fantasy composent ce qu’il est dorénavant convenu d’appeler les littératures de l’imaginaire. En Amérique française, et plus particulièrement au Québec, leur apparition se confond avec le début de la littérature canadienne francophone puisque le premier texte recensé, « La Tour de Trafalgar », de Georges Boucher de Boucherville, est une nouvelle de fantastique parue en 1835. Cent soixante-treize ans plus tard, en 2008, année du quatre centième anniversaire de la fondation de Québec, plus de mille sept cents hommes et femmes ont contribué à l’élaboration du corpus des littératures de l’imaginaire en Amérique française. (…) Le [DALIAF] a pour objectif de démontrer l’importance de ce corpus littéraire – principalement québécois”. (Extrait du texte de couverture arrière)

J’ai déjà présenté le DALIAF dans un billet de novembre 2011 lorsque sa parution a finalement été annoncé mais, maintenant qu’il est disponible et que — m’en étant procuré un examplaire — j’ai pu amplement le consulter, je peux me permettre de le commenter brièvement.

Daliaf-P_p370

DALIAF, p. 370

Dans son introduction, Claude Janelle justifit d’abord le titre de son ouvrage: pourquoi est-ce un dictionnaire, quels genres d’auteurs ont été considéré, pourquoi en Amérique française, puis il définit le trois genre littéraire qu’il considère comme littératures de l’imaginaire (intéressantes définitions où entre en ligne de compte le fait que l’histoire se déroule dans notre monde ou pas, avec des éléments rationnelle ou pas, et qu’il y ait une rupture de la normalité ou pas).

Janelle termine en expliquant la structure de son ouvrage qui se lit en trois niveau. Le premier niveau est bibliographique: pour chacun des auteurs on donne la liste chronologique des oeuvres (romans, nouvelles, contes, recueils, etc.) publiés en Amérique du nord de 1835 à 2008 et appartenant aux littératures de l’imaginaire, includant traductions et rééditions. Le deuxième niveau est biographique: pour plus de quatre-vingts pour cent des quelques mille sept cents auteurs on retrouve une brève notice biographique qui remet l’auteur en contexte. Plusieurs de ces notices incluent une photographie de l’auteur (parfois en couleur). Puis, le troisième et dernier niveau est appréciatif puisqu’il offre, pour la plupart des textes, une liste de références critiques renvoyant à des ouvrages spécialisés (DOLQ, ASFFQ), journaux ou magazines littéraires. Cela permet de connaitre quelle a été la réception critique de chaque texte.

Finalement, afin de mettre en lumière les auteurs les plus significatifs et distinguer les écrivains professionnels et réputés des “auteurs du dimanche, des étudiants en création littéraire” ou des “écrivaillons sans prétention” Janelle nous offre, après chacune des sections alphabétiques, une série de cinquante-six profils littéraires (incluant Jean-Pierre April, Aude, Honoré Beaugrand, Natasha Beaulieu, Michel Bélil, Sylvie Bérard, Alain Bergeron, Bertand Bergeron, Claude Bolduc, Guy Bouchard, Jacques Brossard, André Carpentier, Roch Carrier, Joël Champetier, Pierre Chatillon, Denis Côté, Emmanuel Desrosiers, Jean Dion, Frédérick Durand, Louis Fréchette, Maurice Gagnon, Éric Gauthier, Jean-Marc Gouanvic, Agnès Guitard, Jean-Charles Harvey, Anne Hébert, Alexandre Huot, Pierre Lacroix, Michèle Laframboise, Alexandra Larochelle, Jacques Lazure, Pamphyle LeMay, Michel J. Lévesque, Suzanne Martel, Edouard-Zotique Massicotte, Claude Mathieu, Yves Meynard, Hugues Morin, Stanley Péan, Gilles Pellerin, Francine Pelletier, Bryan Perro, Jean Pettigrew, Anne Robillard, Esther Rochon, Patrick Sénécal, Daniel Sernine, Jean-François Somcynsky, Norbert Spehner, Joseph-Charles Taché, Jules-Paul Tardivel, Marie-Josée Thériault, Yves Thériault, Michel Tremblay, Jean-Louis Trudel, et Élisabeth Vonarburg — désolé pour cette longue énumération mais le choix des auteurs peut être significatif pour certains).

Du premier coup d’oeil il est évident que le DALIAF est un ouvrage important et significatif. La compilation de l’information offerte par ce dictionnaire représente un travail immense et de longue haleine, et nous sommes extrèmement reconnaissant à Claude Janelle pour y avoir consacré plusieurs décennies. Il va de soi qu’un ouvrage d’une telle importance, malgré tout les efforts de perfection et de minutie pour les détails, ne sera jamais dépourvu d’erreurs, d’omissions ou même de coquilles (dans mon cas il omet ma nouvelle “profession” d’aide-bibliothécaire [depuis 2008] ainsi que la publication d’un texte intitulé “Enfer” dans Erreur Boréal [1987, pp. 9-10], un numéro spécial de Pilône; Ce genre de choses est inévitable et je suis malheureusement sûr que mon cas n’est pas unique) mais ce qui compte vraiment c’est l’immense somme d’information sur la production littéraire québécoise dans le domaine de l’imaginaire. Comme je l’ai déjà dit, le DALIAF est un outil de référence essentiel pour tout bibliothécaire, étudiant en littérature, intervenant de l’édition ou simplement amateur extrème du livre québécois (c’est aussi un bel exercice de “pétage de bretelles” pour les petits “écrivaillons sans prétention” comme moi!).

Toutefois, la taille (plus de cinq-cent pages), la qualité (un grand format en couleur avec couverture caisse, i.e. couverture cartonnée et reliure cousue) et le tirage peu élevé (ce qui est malheureusement le cas pour ce genre de dictionnaire plutôt académique qui suscite peu d’intérêt du grand public) d’une telle publication oblige à un prix de vente exorbitant (79,95 $ !). De plus, ces même facteurs rendent toute réédition improbable. Donc, si vous êtes le moindrement intéressé à acquérir le DALIAF, ne tardez pas trop car il est fort possible que toute réédition et mise à jour se fasse uniquement en format électronique. Quoiqu’il en soit le DALIAF est un incontournable — si vous pouvez vous le payer ou, sinon, vous pouvez toujours le consulter en bibliothèques.

Le DALIAF: Dictionnaire des auteurs des littératures de l’imaginaire en Amérique française par Claude Janelle. Québec, Éditions Alire, 2011, 535 pgs. Couleur, 17.5 x 25.5 cm. Édition papier: 79,95 $, ISBN: 978-2-89615-074-8; Édition électronique (PDF): 49,99 $, ISBN: 978-2-89615-479-1. Feuilleter un extrait. stars-4-0

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Le DALIAF: Dictionnaire des auteurs des littératures de l’imaginaire en Amérique française © 2011 Éditions Alire Inc. & Claude Janelle.

A New “Unshelved” compilation!

I just read this morning on the Unshelved website that their ninth and latest comic strip compilation is finally out! (if you are wondering what’s Unshelved you can check the “About” page of the website or read my previous comments on this hillarious comic strip).
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You can read the latest daily misadventures of a dysfunctional library’s staff in Too Much Information. Published in the same smaller format than
Large Print, document.write(“”); the previous book, it “contains eighteen months of daily strips and never-published-on-the-web Conference Tips, plus selected author commentary and a foreword by Babymouse author Jennifer Holm”. The books ship in February but can be already ordered from the website’s store (it’s not yet listed on Amazon). It’s a must-read if you work (or spend lots of time) in a library! Check after the jump for a page sample of the book.