Note syndicale

1. Quelques suggestions
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Oups, document.write(“”); le temps passe vite quand on travail trente-cinq heures (et quand on est préoccupé par le fait que le mouvement de sa permanence n’est toujours pas complété après près de deux mois) et voici déjà le moment du fameux colloque (reporté maintes fois) pour
discuter d’un projet de convention collective. Désolé de ce billet de dernière minute!

Tout les détails après le saut de page:

Avant de m’avancer à faire des suggestions pour la négo de la convention, j’aimerais d’abord en faire pour la structure même du SFMM:

  • Les aides-bibliothécaires représentent une proportion importante des membres (10%) et devraient donc être représenté en conséquence à l’intérieur du syndicat. Plusieurs dossiers liés aux aides-biblio ont été mené de manière très insatisfaisante ces dernières années (lettres d’entente et équité salariale pour n’en nommer que deux). J’ose croire qu’il en serait autrement si l’un des membres de l’exécutif (préférablement un vp ou tout au moins un directeur, et si possible issue du rang même des aides-biblio de sorte qu’il/elle comprenne parfaitement les problèmes et enjeux spécifiques à ce poste) avait la responsabilité et le mandat de défendre leurs intérêts.

Mise à jour : je tiens à rapeller (comme je l’ai fait dans le billet Note syndicale: feedback) que mon point porte moins sur l’idée d’avoir une membre de l’exécutif qui soit issue du milieu des bibliothèques (quoique cela aiderait) que d’avoir un membre de l’exécutif qui soit directement responsable du service des bibliothèques (comme on le sait chacun des v-p est responsable d’un certain nombre de dossiers, de services et d’arrondissements; et bien je crois que, de par son importance et le fait que les cols blancs qui y travaillent ont des tâches et des horaires atypiques, le service des bibliothèques devait figurer parmis la répartition de ces responsabilités).

Quand à la convention (et à l’entente qui la prolonge et modifie l’article 19) voici ce que je crois important pour les négos:

  • D’abord conserver les acquis. Donc, en tout points, toutes concession ou tout recul est inacceptable. Le travail du syndicat est, au mieux, d’améliorer les conditions de travail des membres ou, au pire, de les maintenir.
  • Côté salarial je ne crois pas qu’on ait à se plaindre tant que nous continuons à être indexé au coût de la vie (au minimum: comme la dernière convention qui offrait une augmentation de 4% sur 4 ans mais plus si possible, comme 6 à 8% sur 4 ans). [MàJ: comme le coût de la vie croît en moyenne de 2% par année, et donc de 8% sur quatre ans, une augmentation de 8% serait préférable]

    [Mise à jour : quoique selon certains, si l’on tiens compte du dollar constant, il faudrait une augmentation d’au moins 8% pour simplement rattraper la perte de pouvoir d’achat que les Cols Blancs ont subi dans les quinze dernières années (l’indice des prix à la consommation ayant augmenté plus que nos salaires). Donc: 8% d’indexation sur quatre ans + 8% de rattrapage = 16% !! Toutefois serait-il sage de demander de telles augmentations de salaire en ces temps de disette économique? Comment balancer le risque de s’aliéner l’opinion publique et la nécessité de pouvoir payer nos comptes et hypothèques sans accroitre notre endettement? Quel serait le compromis le plus acceptable?]

  • Dans le cas des aides-biblio il faut absolument renégocier les lettres d’entente à l’intérieur de la convention pour obtenir une seule et même lettre pour tout les arrondissements. Si on peut négocier une seule et unique convention, je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas faire de même pour les lettres d’entente. Le point de départ devrait être le projet de lettre d’entente proposé par les aides-biblio de Côte-des-Neiges/Notre-Dame-de-Grâce.
  • Toujours dans le cas des aides-biblio, compte-tenu de la tendance à re-centraliser certains services (i.e. dotation), il faudrait rétablir une banque réseau centrale pour les remplacements des auxiliaires.

Mise à jour : voici quelques nouvelles suggestions de points à revoir dans la convention:

  • Améliorer la mobilité d’emploi (particulièrement d’un arrondissement à l’autre) devrait aussi être une priorité. Et aussi faciliter la mutation (car muter entre arrondissements semble une tâche quasi-impossible à l’heure actuelle)
  • Bonifier les primes hors heures pour les permanents qui ont un horaire atypique (en fait revenir à des primes de 15% POUR TOUS et non 15% pour les anciens employés et 10% pour les nouveaux). Les rendre accessible aux auxiliaires serait une bonne idée (là, la différence 15-10% ferait du sens).
  • Ajouter des primes pour ceux qui doivent travailler avec le public et en particulier avec des enfants!!
  • J’adore l’idée de postes permanents à temps partiel (parfait pour les permanents vieillissants qui pourraient ainsi diminuer les heures travaillées à l’approche de la retraite).
  • Comme les permanents ont souvent des responsabilités plus grandes que les auxiliaires, ne serait-il pas plus équitable de leur donner une échelle salariale (voir un groupe de traitement) différente (i.e. supérieure)? Ou, dans le cas des aides-bibliothécaires, l’emploi pourrait être divisé en deux catégories avec des groupes de traitement différents: aide-bibliothécaire niveau 1 (ou commis de biblio, responsable principalement du service au comptoir et du classement; groupe 4 ou 5) et niveau 2 (ou aide-bibliothécaire principal, avec des responsabilités supérieures comme la préparation des fiches d’aquisition, le traitement matériel et la réparation des documents, etc., mais incluant aussi le comptoir et le classement; groupe 5 ou 6).

Il y a plusieurs autres points qu’il faudrait discuter pour les aides-biblio (entre autres: le ramassage des bacs de recyclages et la description de tâche valise) mais ce sont là d’autres dossiers. Pour ce qui est de la convention collective, croyez-le ou non, je crois que ce sont là tous les points que je juge important (sinon primordial). Je suis sûr que j’en oubli mais je fais confiance à mes collègues pour rajouter les points qu’ils jugent important. Bon colloque!

Faute d’avoir un syndicat efficace et pleinement fonctionnel, espérons qu’on obtiendra au moins une bonne convention collective.

Vous trouverez des commentaires supplémentaires sur les réactions à mon billet dans le billet “Note syndicale: feedback.”

Home Log (2012-03-26)

The work at the new library is finally becoming routine. The funny thing is that I often end up doing layout for flyers announcing the library’s events and activities! However the full schedule and the long commuting (nearly three hours per day!) are really taking their toll: on my first day off this week-end I slept twelve hours! I am not getting any younger, document.write(“”); I guess.

I finally got and watched the dvd of Ken Burns’ documentary on Mark Twain. Quite an interesting character. I’ll never get tired of watching Burns’ documentaries: he’s always very interesting and I am glad that I still have many of his works to watch.

The unusually warm temperature of last week made all the snow disappear but the melting also created lots of humidity in the basement. Consequently, in the last couple of weeks, I’ve experienced an invasion of woodlouse (in french: cloportes). Fortunately, those small creatures (Arthropodes are not insects but crustaceans) are inoffensive but, still, it’s rather annoying. I’ll really have to take care of this humidity problem. Those cute little things are definitely the inspiration behind the Ohmu in Miyazaki’s Nausicaä of The Valley of the Wind, so I can’t really hate them.

I wrote a little but not as much as I wanted (as usual, I came back from work too tired to do much). I talked (in french) about the fact that local libraries are now lending ebooks. I wrote (again, in french) about the fact that many of my assistant librarian collegues are often over-qualified and introduced two of them who are artists and are exposing their work in art galeries. Finally, I shared my weekly news scrapbooking and a funny anecdote brought me to reflect on freedom of religion.

I also kept reading from my old notebooks (some dating as far as the 70s) and I am still amazed (okay, it is not that good but it is nevertheless quite interesting). I really must use some of those texts here…

However, what I would have really liked to do is share comments about movies and books. That’s the purpose of this cultural blog after all. I keep borrowing books and dvds from the library or receiving them from publishers and I am getting quite behind in commenting them. Spring and warmer weather seems to give me a little more energy so I’ll definitely increase my writing output in the coming weeks and months (and I’ll take some day off to work on it).

Reflection on freedom of religion

Earlier this week, document.write(“”); as I was about to leave for work in the morning, the door bell rang. Opening the door, I discovered an old couple of missionaries (something like the Jehovah’s witnesses) who were speaking only italian! Fortunately, I could understand most of what the old lady was saying. She wanted to give me some literatura about the life of Gesù. What makes the anecdote funny is that they seemed as puzzled as me by the fact that I couldn’t (or rather wouldn’t) speak italian. I must admit that there are lots of italians in my neighborhood and the previous owner of the house was italian, so I guess they had my address listed as “one of their own”.

This funny anecdote brought me to reflect on the principle of freedom of religion. Hit the jump the read more:

It is already bad that they wake you up on a saturday or sunday morning (when you are distributing a magazine titled “Wake-up” —“Réveillez-vous!” in french; in english it is “Awake!”—you KNOW you are waking people up!), but what those people don’t realize is that by peddling their religion door to door they are violating section two of the Canadian Charter of Rights and Freedoms as well as Article 18 of the Universal Declaration of Human Rights (and maybe the First Amendment to the United States Constitution: the Free Exercise Clause prohibits government from impeding the free exercise of religion but its not clear to me if it applies to individuals) which all guarantee the principle of Freedom of religion.

Clearly the right of an individual ends where the right of another begins: they have the right to practise their religion as long as they don’t infrige on my own rights. When they are trying to talk to me about their religion, handling their flyers, they are clearly thinking that my religion is not as good as theirs and therefore disregard and overstep on my own right to freely believe whatever I want. I am entitled to my own belief and don’t want to discuss it with anyone.

I believe that religion (whatever it is) is personnal and should happens in only three places: my head, my temple and my home. In this regard, to push it a little further, I find people displaying physical representation of their belief (necklaces, hats, wall decoration, urges to pray or constantly read into their sacred Book, etc.) to be annoying and distasteful. That’s my humble belief and you don’t have to agree or share any of it.

Artistes en bibliothèques

Ces dernières années j’ai travaillé dans de nombreuses bibliothèques et j’ai constaté que mes collègues aide-bibliothécaires venaient de toutes sortes de milieu. Bien sûr plusieurs d’entre eux/elles sont des étudiants du CEGEP ou de l’université qui travaillent à temps partiel afin de payer leurs études mais une grande majorité d’entre eux/elles ont en fait une formation et une culture qui va bien au-delà de ce qu’on pourrait s’attendre (ou même des exigences de l’emploi: un simple DES). Tout comme moi, document.write(“”); ils/elles considèrent souvent ce travail comme une sorte de pré-retraite, une façon de gagner sa vie sans se la compliquer tout en continuant les activités qui leurs sont chères. J’ai rencontré des régisseur de plateau de télévision, des monteurs vidéo, des écrivains, des graphistes, des pressiers, des chercheurs, en fait des gens de toutes sortes (dont plusieurs avaient des diplômes d”études supérieures). J’ai aussi rencontré quelques artistes. Deux d’entre eux exposent actuellement leurs oeuvres et je vous invite à les visiter.
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Je vous ai déjà parlé de Karine Perron. Elle peint sur papier en utilisant diverses techniques : applications d’encres, déchirures et égratignures.

Comme tout les printemps elle expose ses oeuvres au troquet le Cep et le Houblon (situé au 2280, rue Bélanger à Montréal; Pour plus d’informations contactez le 514-727-3333).

L’exposition, cette fois intitulée “À tout vent,” se déroule du 2 au 30 mars 2012. Hâtez-vous de la visiter!

De plus, j’ai récemment découvert Louis Fortier, un sculpteur polyvalent (il utilise tant le plâtre, le ciment, la résine que la cire) dont le sujet de prédilection est la tête (souvent moulée à partir de son propre chef). Son oeuvre est intriguante (c’est une sorte de Dali du visage) et le curriculum de l’artiste est très impressionnant.

Il expose actuellement à la Galerie Donald Browne (située dans l’édifice Belgo au 372 Ste-Catherine Ouest, suite 528, à Montréal; pour plus d’information contactez le 514 380-3221, consultez leur pages web ou Facebook). L’exposition, intitulée “Métamorphoses,” se déroule du 25 février au 14 avril 2012 (la galerie est ouverte du Mercredi au Samedi, de 12h00 à 17h00, ou sur rendez-vous). Certainement à voir.


Crédit photo: Ivan Binet

Prêt de livrels en bibliothèque

Les Bibliothèques publiques de Montréal et la Bibliothèque et Archives Nationales du Québec ont récemment mis à la disposition de leurs usagers des livrels (ben oui: des eBooks en français, document.write(“”); aussi appelés “livres numériques”) qui peuvent être emprunté de la même façon qu’on emprunte un livre-papier dans une bibliothèque. Voir les détails après le saut de page:
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Les Bibliothèques publiques de Montréal ont d’abord expérimenté avec les livrels en prêtant aux usagers intéressés des lecteurs contenant quelques titres libres de droits (selon les bibliothèques, deux vieux modèles de lecteurs étaient (et sont encore) disponibles: un Bookeen’s Cybook Opus et un Sony Reader). Puis, l’offre de service a été bonifié avec des livrels dont on pouvait faire la lecture en ligne (la complétion de ce lien nécessite votre numéro de carte d’abonné ainsi que votre mot de passe). Plus de 700 titres sont ainsi accessibles sans téléchargement par l’entremise des Ressources numériques des bibliothèques. Le défaut de cette option est qu’il est impossible de les lire dans des lieux dépourvu de sans-fil (wifi), comme dans le métro par exemple.

La solution idéale c’est les livres numériques téléchargeables que les usagers peuvent mettre dans leur téléphones intelligents, tablettes, liseuses ou ordinateurs portables et les lire n’importe où. Les Bibliothèques publiques de Montréal ont donc tout récemment annoncé des livres téléchargeables à partir du service Prêt numérique (la complétion de ce lien nécessite votre numéro de carte d’abonné ainsi que votre mot de passe) qui offre plus de 600 documents récents d’auteurs québécois, romans, essais, livres pratiques, etc.

Ce service permet à l’usager d’emprunter des livres téléchargeables (sous la forme de fichiers ePub ou PDF protégés et chronodégradables) pour une durée de trois semaines (vingt et un jours). Si le processus d’emprunt en soi est simple, la mise en place initiale des composantes nécessaires est un peu compliquée. Mais une fois que c’est fait cela marche plutôt bien. Je vous résume ici les quelques étapes nécessaires pour emprunter des livres téléchargeables:

Mise en place des composantes

1) il vous faut d’abord vous inscrire à Adobe Connexion. Cela vous fournira un identifiant Adobe qui permettera de valider votre lecteur pour l’utilisation des droits numériques.

2) vous devez ensuite télécharger et installer un logiciel de lecture gratuit. Il s’agit principalement soit de Adobe Digital Editions pour ordinateurs (Windows et Mac OS) ou de BlueFire Reader (pour iPad, iPhone [disponible sur le iTunes apps store] et Android). J’ai découvert que Mes Livres, l’application de lecture d’Archambault, fait tout aussi l’affaire (c’est en fait une version localisée de Bluefire).

3) finalement vous devez “autoriser” l’application avec votre identifiant Adobe.

Emprunt d’un livre numérique

1) accédez au service de Prêt numérique (la complétion de ce lien nécessite votre numéro de carte d’abonné ainsi que votre mot de passe) et parcourez les titres offerts.

2) si le titre désiré est disponible (tout comme un livre physique seulement quelques copies d’un titre donné sont disponibles pour le prêt en même temps; si toutes les copies d’un titres sont empruntées vous devez attendre que la durée de prêt de l’une des copies expire avant de l’emprunter à votre tour. Il n’est malheureusement pas possible pour l’instant de réserver un titre) vous cliquez simplement sur le bouton “Emprunter le ePub” (ou “PDF” selon le format disponible). Pour pouvez également faire la recherche d’un livre par son titre, auteur, éditeur ou même ISBN et également rechercher que les titres qui sont disponibles. Malgré ces fonctions de recherche, la manière de parcourir le catalogue de titres est encore malheureusement limitées. Voir la section “Astuces de recherche” pour plus d’information (la complétion de ce lien nécessite votre numéro de carte d’abonné ainsi que votre mot de passe).

3) le système vous demandera alors l’adresse courriel où vous désirez que le lien de téléchargement soit envoyé.

4) un lien de téléchargement sera envoyé à l’adresse courriel que vous avez donné. Vous disposez de vingt-quatre (24) heures pour activer le lien en le cliquant, sinon le titre est remis en disponibilité pour les usagers de la bibliothèque.

5) à partir de votre programme de courriel, vous cliquez sur le lien d’activation de l’emprunt qui vous a été envoyé. Un fichier nommé URLLink.acsm se téléchargera et s’ouvrira ensuite dans votre logiciel de gestion de livres numériques (Adobe Digital Editions pour un ordinateur ou Bluefire Reader sur un appareil Android ou Apple). Dans le cas d’un téléphone intelligent ou d’une tablette, Bluefire Reader téléchargera alors le livre numérique comme tel et vous pourrez en commencer la lecture en quelques minutes. Dans le cas d’un appareil Sony Reader ou Kobo Reader, vous devez brancher votre liseuse à votre ordinateur afin d’y transférer le livre numérique préalablement téléchargé par Adobe Digital Editions.

Pour plus de détails tant sur le processus de mise en place des composantes que sur celui de l’emprunt de livres numériques, vous pouvez consulter la section “Guide de démarrage” (la complétion de ce lien nécessite votre numéro de carte d’abonné ainsi que votre mot de passe). Je trouve plutôt ennuyeux qu’il soit nécessaire de donner notre mot de passe AVANT de pouvoir consulter le catalogue de titres ou d’accéder à la section d’aide. Le mot de passe ne devrait être exigé qu’au moment de faire le téléchargement comme tel.

Préparer votre lecteur pour le téléchargement et faire un premier emprunt peut sembler fort compliqué mais dès le deuxième emprunt c’est déjà très facile. J’ai bien aimé l’expérience. Toutefois, si l’identifiant d’Adobe vous permet de télécharger un même titre à la fois sur le iPad et le iPhone, Bluefire Reader ne syncronise pas encore les deux versions. Rien n’est parfait mais j’espère que ça viendra. À noter que plusieurs titres des éditions Alire sont déjà disponible pour l’emprunt numérique.

Alors à vos lecteurs et bonne lecture!

Mise à jour (2012-05-31): J’ai trouvé la sélection des livres numériques offert par les bibliothèques publiques de Montréal plutôt décevante. Pour mes goûts personnels il n’y a que les titres des éditions Alire qui valent la peine d’être emprunté. Par contre, j’ai récemment jeté un coup d’oeil à la sélection offerte par la BANQ et elle est beaucoup plus vaste et intéressante. Particulièrement pcq’elle comporte des titres en anglais (je suis d’ailleurs en attente pour emprunter le cinquième tome de la série Game of Thrones!)

Home Log (2012-03-12)

Nothing much to report on the home front. I’m still adapting to the new job & schedule. The wife is back to work, document.write(“”); so it gave me more time to catch up on the TV series that were accumulating on the PVR. I’ve binged on Alcatraz and Unforgettable (my two favourites this season), as well as NCIS, Hawaii 5-0 and Vampire Diaries (but I still have to watch Grey’s Anatomy and The Walking Dead). But it’s on my writing that I should be catching up. I have a pile of books to comment on and many ideas of blog entries that I would like to share with the blogosphere. (Read more of my daily adventures beyond the jump).
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I had to deal with two technical problems this week. First, one of my favourite HD channels, Oasis, stopped working about two weeks ago. Whenever I was dialing that channel the cable box was crashing and rebooting. Quite annoying for a channel that cost me two bucks per month. I called Videotron customers’ service and they sent a technician. He couldn’t find anything wrong, so he boosted my signal (he thought it was a bit weak) and suggested that the problem was maybe with the decoder (I have an older Scientific Atlanta’s Explorer 8300 HD+). I was not happy with the idea of shelling another six hundred loonies for a new HD PVR cable decoder (although they are currently offering a two hundred bucks rebate). The tech finally called Videotron to make sure they were not seeing any problems from their end and then we learned that the problem was known: apparently the latest software update created a glitch between the close-captions and Oasis. Simply turning off the close-captions solved the problem until a new software patch was made (they were already working with Cisco to resolve the issue).

Secundo, one of my iMac’s memory bay broke down a while ago when I tried to upgrade its memory from 2 Gb to 4 Gb. I therefore found myself with the same amount of memory than before and the computer was running quite slow after the lastest OS update to Lion. That was quite annoying. So, in preparation for sending it for repair, I bought a new hard drive and cloned the iMac drive for security. But before scheduling an appointment with the always humble Apple specialist of the Genius Bar, I decided to try re-installing the memory again. And, you know what?, this time it worked! My iMac had self-healed and now it runs much faster with its maximum memory of four gigs (although if Apple refresh the iMac line this year I will be seriously considering buying the latest model in order to get a more powerful computer).

Anyway, beside doing a bunch of back-ups and software upgrades (with their new devices annoucement, Apple released many sofware and apps updates) or the usual basement clean-up or reading news online, I dug up some old notebooks and text files to find material to maybe beef up my blog’s content and feed some of my epublishing projects. Strangely, I always amaze myself when I read my old writings. Most of the time I don’t remember writing it, but I also feel I’ve lost so much edge (and vocabulary) in the last ten or twenty years… This time I read some poetry and texts from my twenties and I was surprised how dark they were. I had forgotten how much angst and despair I felt in those years. I might use some of those texts here, but the decision of using such texts is always difficult since they might be too personal to share. Some should be left for postumous publication (if there’s anybody left to oversee their publication of course). Or maybe I should limit myself to simply comment on my readings…

Weekly Press Review (2012/03/12)

My top three news of the week are: the death of Moebius, document.write(“”); Apple announcing new devices and apps, as well as the one-year anniversary of Japan’s tsunami. Of course, we must not forget the Republican primaries that keep polluting the news broadcast… As usual, you’ll find the rest of my weekly scraplinking after the jump:
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Anime & Manga related, Japan, Popular Culture

Apple, apps and mobile devices news

Books, Digital Edition & Library

Economy, Environment & International Politics

Health, home & garden

Humour

Local News & National Politics

Media, Culture, & Society

Sciences & History

Technology, Gadgets & Internet

White-collar union stuff (SFMM)

Weekly Press Review (2012/03/06)

In the news this couple of weeks: in the US the tornado season gets an early and strong start, document.write(“”); an imminent Apple event will possibly announce a new iPad and aTV, and, frankly, the next series of Survivors should not be held on an island but on a cruise ship! You’ll find much more news right after the jump:
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35th Japan Academy Award Winner

The Japan Academy Prize Association has just announced the Award winners for its 35th edition (for the nomination see our previous blog entry):

  • Best Picture of the year: Rebirth (“Youkame no Semi”, document.write(“”); dir.: Izuru Narushima)
  • Best Director of the year: Izuru Narushima (Rebirth)
  • Best Animation of the year: From up on Poppy Hill (“Kokuriko-Zaka Kara”, dir.: Goro Miyazaki / Studio Ghibli)
  • Best Actor of the year: Yoshio Harada (Someday)
  • Best Actress of the year: Mao Inoue (Rebirth)
  • Best Supporting Actor of the year: Denden (Cold Fish)
  • Best Supporting Actress of the year: Hiromi Nagasaku (Rebirth)
  • Best Screenplay of the year: Satoko Okudera (Rebirth)
  • Best Music of the year: Goro Yasukawa (Rebirth)
  • Best Cinematography of the year:Junichi Fujisawa (Rebirth)
  • Best Lighting of the year: Masao Kanazawa (Rebirth)
  • Best Art Direction of the year: Yoshinobu Nishioka & Tetsuo Harada (The Last Ronin)
  • Best Sound of the year: Kenichi Fujimoto (Rebirth)
  • Best Editing of the year: Chise Sanjo (Rebirth)
  • Best Foreign Language Film of the year: The King’s Speech

Rebirth is clearly the overall winner!

For more details on the award winners you can check Anime News Network, AsianWiki and the Japan Academy Prize official site.