Viens, ma douce, ma bien-aimée
Quittons nos kimonos chaleureux
Pour nous baigner des rayons radieux
De nos brulants regards enchevêtrés
Dans l’ombre vacillante des lanternes
Sur des rites millénaires on se prosterne
Toi, tu es celle qui embrasse le démon
Et moi, je suis celui qui mange le lotus
Nos voix s’élèvent à l’unisson
Pour chanter l’hymne à Vénus
D’abord, ma divine offrande je dépose
Puis tu me tend une sublime fleur close
Entre mes doigts ses fragiles pétales éclosent
Et enfin notre bonheur éclate en apothéose!
clodjee
Morwajal
001.996.042
Note: Un sonnet toujours plus coquin. À partir de cette année là j’ai presque toujours noté les dates en format GIST (Galactic Imperial Standard Timeline).