Amour Heuristique (IId)

2.5 AFTERMATH

Pour oublier: le travail dès que possible
Ce sont les nuits qui sont les plus pénibles
Sa présence était comme une drogue dans mon sang
Me désintoxiquer des souvenirs réminescent
La douceur de ses lèvres, sa grande tendresse
Le goût de sa sève, ses promptes caresses
Mais surtout sa sollicitude à l’égard de ma détresse

Mon destin s’est accompli et la vie doit suivre son cours
Je suis éveillé, je ne suis plus aveugle, ni sourd
J’ai besoin d’action, de présences, plus qu’avant
Et maintenant seule l’obscurité me terrifie horriblement

Jamais je n’oublierai…
Nos destins se sont rencontré…
Elle m’a grandi, a illuminé mon obscurité…
Elle est toujours là, j’espère au moins son amitié…
Et avec équilibre, espoir de continuité…

Necesito un guia
Usted es muy hermosa
Usted me gusta muchisimo
Yo te quiero

Mucha gracias por su atension, dispenseme…
Cuendo puedo volver a verle?

1988-12-10

2.6 AFTERTHOUGHT

Mais ce ne sont là que des mots, des évidences
Qui sont, quant tout est fini, bien vide de sens
Quel est le poids des impressions anarchiques
Véhiculés par des clichés pathétiques
Devant ce qui fut si magique ?

1988-12-17
Le rêveur gris
Morwajal

Note: Voici les deux derniers morceaux de ce long poème sur ce qu’un bref idylle m’a appris de la vie. Comme toujours il s’agit de vers éclectiques, sans formes précises, ni métrique. Vous noterez deux brèves strophes en espagnol (nous nous échangions parfois de petits billets dans la langue de Cervantes) [pour la traduction demandez à Mr. Google!]… Voir les parties un (IIa: 2.1-2.2), deux (IIb: 2.3) et trois (IIc: 2.4) de cet ensemble. Le poète du dimanche n’en a pas encore fini puisque j’ai toujours dans mon sac quelques fragments épars.

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