Robots, robots
Robots, robots
Cela fait si longtemps
Quand les humains avaient du pot
Du moins plus que maintenant
Avec vos petites roues
Faites de caoutchouc
Vous rouliez de ci, de là
Tout en faisant ceci, cela
C’était les balbutiements de la robotique
Frankenstein faisait peur, c’était cynique
Sans sentiments, mais vous parliez
Maladroits, mais que vous travailliez
Robots, robots
Vous étiez presque sot
Ce n’était que le début
Ah, si nous avions su !
Biset
1978/05/11
[ Translate ]Le poète du dimanche frappe encore. À l’époque de mes presque seize ans, j’écrivais beaucoup de poésie de science-fiction (et même de fantasy comme vous le verrez plus tard), quoique la saveur la plus commune de mes vers restait généralement dans le fantastique… Ici c’est la rencontre du lyrisme asimovien et du récit de mise en garde du genre Terminator (qui ne verra pourtant le jour qu’en 1984)… C’est pas génial mais c’est du bonbon amer. Juste pour la postérité…