Épitaphe
Ils s’envolèrent d’un coup d’ailes
Ces rêves qui lui rongeaient l’esprit
Rêves temporels, parallèles
Une ride sur un océan en furie
Une ombre dans la nuit
Lumière cendrée qui éblouit
Mais même lorsqu’il git ici
L’énergie de ses cendres fuit
Et erre sans trêve
Dans l’abîme du rêve
Biset
1980/08/18-19
[ Translate ]Le poète du dimanche vous rote une autre arrière-pensée d’outre-temps, de ses dix-huit ans, cette fois avec des relents vaguement lovecratiens. Un sonnet mort trop jeune alors qu’il lui manquait encore un quatrain?