Découverte: Revue Collections Vol. 3, No 2

Le plus récent numéro de la revue Collections (la revue de la littérature d’ici pour les bibliothèques d’ici, document.write(“”); publiée par l’ANEL), le vol. 3 No 2 (publié en avril 2016), est consacré à l’Art, à la musique et au cinéma.
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On y parle, bien sûr, de livres documentaires sur l’Art mais aussi d’adaptation cinématographique d’oeuvres littéraires. Une excellente référence.

La revue est disponible sous forme imprimée dans certaines bibliothèques et sur le site de l’Entrepôt du livre numérique de l’ANEL (en format PDF).

J’ai déjà mentionné le numéro précédant en février.

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Découverte: Revue Collection Vol. 3, No 1

J’ai découvert par hasard cette semaine qu’un nouveau numéro de la revue Collections était maintenant disponible. J’ai déjà parlé de ce périodique à l’automne (dans le cadre de la première partie de mon essai sur les genres littéraires). Collections c’est une revue de la littérature d’ici pour les bibliothèques d’ici publiée par l’ANEL (l’Association Nationale Des éditeurs De Livres) sous forme imprimée et électronique (livrel). Publiée six fois l’an, document.write(“”); chaque numéro de la revue “aborde (…) un thème spécifique, le tout dans un cadre visant à faciliter le développement des collections et la création d’activités par les bibliothécaires”.
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Le plus récent numéro, le vol. 3 No 1 (publié en février 2016), est consacré à l’histoire et à la politique. Dans ce numéro “Découvrez tout ce qui se prépare sur le 375e anniversaire de Montréal, apprenez à connaître les personnages historiques à travers leur biographie, parcourez la liste des livres jeunesse, etc.” Ici il est moins question de littérature historique ou politique mais surtout de documentaires sur l’histoire et la politique: biographies de personnages historiques, l’histoire sociale au Québec, essais sur la société et la politique québécoise, etc. On parle tout de même de la politique et de l’histoire dans la fiction (pour adultes mais aussi pour la jeunesse).

La revue est disponible dans certaines bibliothèques et sur le site de l’Entrepôt du livre numérique de l’ANEL (en format PDF).

C’est une ressource très intéressante et pas seulement pour les bibliothécaires mais pour tout les intervenants et fervents de livre et de savoir.

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Prêt de livrels en bibliothèque

Les Bibliothèques publiques de Montréal et la Bibliothèque et Archives Nationales du Québec ont récemment mis à la disposition de leurs usagers des livrels (ben oui: des eBooks en français, document.write(“”); aussi appelés “livres numériques”) qui peuvent être emprunté de la même façon qu’on emprunte un livre-papier dans une bibliothèque. Voir les détails après le saut de page:
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Les Bibliothèques publiques de Montréal ont d’abord expérimenté avec les livrels en prêtant aux usagers intéressés des lecteurs contenant quelques titres libres de droits (selon les bibliothèques, deux vieux modèles de lecteurs étaient (et sont encore) disponibles: un Bookeen’s Cybook Opus et un Sony Reader). Puis, l’offre de service a été bonifié avec des livrels dont on pouvait faire la lecture en ligne (la complétion de ce lien nécessite votre numéro de carte d’abonné ainsi que votre mot de passe). Plus de 700 titres sont ainsi accessibles sans téléchargement par l’entremise des Ressources numériques des bibliothèques. Le défaut de cette option est qu’il est impossible de les lire dans des lieux dépourvu de sans-fil (wifi), comme dans le métro par exemple.

La solution idéale c’est les livres numériques téléchargeables que les usagers peuvent mettre dans leur téléphones intelligents, tablettes, liseuses ou ordinateurs portables et les lire n’importe où. Les Bibliothèques publiques de Montréal ont donc tout récemment annoncé des livres téléchargeables à partir du service Prêt numérique (la complétion de ce lien nécessite votre numéro de carte d’abonné ainsi que votre mot de passe) qui offre plus de 600 documents récents d’auteurs québécois, romans, essais, livres pratiques, etc.

Ce service permet à l’usager d’emprunter des livres téléchargeables (sous la forme de fichiers ePub ou PDF protégés et chronodégradables) pour une durée de trois semaines (vingt et un jours). Si le processus d’emprunt en soi est simple, la mise en place initiale des composantes nécessaires est un peu compliquée. Mais une fois que c’est fait cela marche plutôt bien. Je vous résume ici les quelques étapes nécessaires pour emprunter des livres téléchargeables:

Mise en place des composantes

1) il vous faut d’abord vous inscrire à Adobe Connexion. Cela vous fournira un identifiant Adobe qui permettera de valider votre lecteur pour l’utilisation des droits numériques.

2) vous devez ensuite télécharger et installer un logiciel de lecture gratuit. Il s’agit principalement soit de Adobe Digital Editions pour ordinateurs (Windows et Mac OS) ou de BlueFire Reader (pour iPad, iPhone [disponible sur le iTunes apps store] et Android). J’ai découvert que Mes Livres, l’application de lecture d’Archambault, fait tout aussi l’affaire (c’est en fait une version localisée de Bluefire).

3) finalement vous devez “autoriser” l’application avec votre identifiant Adobe.

Emprunt d’un livre numérique

1) accédez au service de Prêt numérique (la complétion de ce lien nécessite votre numéro de carte d’abonné ainsi que votre mot de passe) et parcourez les titres offerts.

2) si le titre désiré est disponible (tout comme un livre physique seulement quelques copies d’un titre donné sont disponibles pour le prêt en même temps; si toutes les copies d’un titres sont empruntées vous devez attendre que la durée de prêt de l’une des copies expire avant de l’emprunter à votre tour. Il n’est malheureusement pas possible pour l’instant de réserver un titre) vous cliquez simplement sur le bouton “Emprunter le ePub” (ou “PDF” selon le format disponible). Pour pouvez également faire la recherche d’un livre par son titre, auteur, éditeur ou même ISBN et également rechercher que les titres qui sont disponibles. Malgré ces fonctions de recherche, la manière de parcourir le catalogue de titres est encore malheureusement limitées. Voir la section “Astuces de recherche” pour plus d’information (la complétion de ce lien nécessite votre numéro de carte d’abonné ainsi que votre mot de passe).

3) le système vous demandera alors l’adresse courriel où vous désirez que le lien de téléchargement soit envoyé.

4) un lien de téléchargement sera envoyé à l’adresse courriel que vous avez donné. Vous disposez de vingt-quatre (24) heures pour activer le lien en le cliquant, sinon le titre est remis en disponibilité pour les usagers de la bibliothèque.

5) à partir de votre programme de courriel, vous cliquez sur le lien d’activation de l’emprunt qui vous a été envoyé. Un fichier nommé URLLink.acsm se téléchargera et s’ouvrira ensuite dans votre logiciel de gestion de livres numériques (Adobe Digital Editions pour un ordinateur ou Bluefire Reader sur un appareil Android ou Apple). Dans le cas d’un téléphone intelligent ou d’une tablette, Bluefire Reader téléchargera alors le livre numérique comme tel et vous pourrez en commencer la lecture en quelques minutes. Dans le cas d’un appareil Sony Reader ou Kobo Reader, vous devez brancher votre liseuse à votre ordinateur afin d’y transférer le livre numérique préalablement téléchargé par Adobe Digital Editions.

Pour plus de détails tant sur le processus de mise en place des composantes que sur celui de l’emprunt de livres numériques, vous pouvez consulter la section “Guide de démarrage” (la complétion de ce lien nécessite votre numéro de carte d’abonné ainsi que votre mot de passe). Je trouve plutôt ennuyeux qu’il soit nécessaire de donner notre mot de passe AVANT de pouvoir consulter le catalogue de titres ou d’accéder à la section d’aide. Le mot de passe ne devrait être exigé qu’au moment de faire le téléchargement comme tel.

Préparer votre lecteur pour le téléchargement et faire un premier emprunt peut sembler fort compliqué mais dès le deuxième emprunt c’est déjà très facile. J’ai bien aimé l’expérience. Toutefois, si l’identifiant d’Adobe vous permet de télécharger un même titre à la fois sur le iPad et le iPhone, Bluefire Reader ne syncronise pas encore les deux versions. Rien n’est parfait mais j’espère que ça viendra. À noter que plusieurs titres des éditions Alire sont déjà disponible pour l’emprunt numérique.

Alors à vos lecteurs et bonne lecture!

Mise à jour (2012-05-31): J’ai trouvé la sélection des livres numériques offert par les bibliothèques publiques de Montréal plutôt décevante. Pour mes goûts personnels il n’y a que les titres des éditions Alire qui valent la peine d’être emprunté. Par contre, j’ai récemment jeté un coup d’oeil à la sélection offerte par la BANQ et elle est beaucoup plus vaste et intéressante. Particulièrement pcq’elle comporte des titres en anglais (je suis d’ailleurs en attente pour emprunter le cinquième tome de la série Game of Thrones!)

Clodjee au Salon: les découvertes

Toutes les années, document.write(“”); profitant de la Journée des Professionnels, j’aime bien faire mon tour au Salon du Livre de Montréal. Histoire de conserver un bon aperçu de l’industrie du livre au Québec. C’était très pertinent quand je travaillais dans l’édition et ce l’est toujours maintenant que je travaille en bibliothèques.
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Je me souviens que, dans ma jeunesse, j’avais l’habitude de passer une journée entière au salon, déambulant inlassablement dans les allés, en
cardo puis en decumanus, de cette cité livresque, à la recherche des derniers trésors. Malheureusement je n’ai plus la même endurance, ni la patience, et après trois heures j’en ai vite fait le tour. Il me semble que je ne vois plus rien. Il y a tellement de livres et de kiosques que nous sommes vite saturés.

Ne pouvant donc plus systématiquement tout inspecter, je laisse donc les découvertes se faire là où le destin porte mon regard (c’est une sorte de lèche-vitrine karmique). Et, bien sûr, je vais à l’essentiel: visitant les principaux gros distributeurs de manga et de Bédés pour voir les nouveautés, ainsi que mon éditeur de paralittérature favori (le seul, l’unique): les éditions Alire. De plus, depuis que je travaille en bibliothèques, je tend à m’attarder irrésistiblement, un peu, sur la littérature jeunesse. Heureusement le vendredi est une journée relativement tranquille (comparé au samedi), quoiqu’on a déjà de la difficulté à déambuler librement et que la ligne d’attente pour la séance de signature de Kathy Reichs était énorme (mais on m’a assuré que c’était bien pire le samedi).


Voici donc les découvertes qui ont attiré mon attention cette année au Salon du Livre de Montréal:

J’ai d’abord remarqué une plus grande présence du livre numérique: quelques éditeurs annonçaient leur catalogue numérique ou donnaient même des ateliers sur l’utilisation d’une tablette de lecture et Archambault avait encore un gros kiosque (en collaboration avec l’ANEL) pour promouvoir sa boutique virtuelle (anciennement jelis.ca). On y distribuait le dépliant “Le livre numérique simplifié en 7 questions” et incitait les propriétaires de tablettes de lecture à télécharger leur application Mes Livres / My Books (disponible sur iOS mais aussi Android).

J’ai aussi jeté un bref coup-d’oeil au magazine québécois Entre les Lignes (similaire à l’européen Lire) mais il n’existe pas pour l’instant de version électronique et un peu moins de $30 pour un abonnement annuel (4 numéros) c’est un peu cher pour mon budget de petit employé municipal! Heureusement, c’est disponible en bibliothèques.

Du côté nouveautés, j’ai découvert que Dargaud avait réédité Monster, l’intriguant manga de Naoki Urasawa, dans la collection Big Kana en une version intégrale deluxe (partiellement disponible en bibliothèques). J’ai aussi été tenté d’acheter le tout dernier Rabagliati, Paul au Parc (mais j’ai plutôt décidé d’attendre pour le lire en bibliothèques, où, chose surprenante, il est d’ailleurs déjà disponible!). Il y avait, bien sûr, les plus récents titres d’Alire: Malphas 1. Le Cas des casiers carnassiers de Patrick Sénécal, Odyssées chimériques de Claude Lalumière (un des rares recueils de nouvelles publiés chez Alire), et Montréel de Éric Gauthier (pour plus de titres voir leur catalogue 2011 ou visiter votre bibliothèque). Malheureusement, le DALIAF n’était pas présent au Salon, étant encore sous presses (mais il sera lancé à la fin du mois et sera donc bientôt disponible; voir l’entrée Épanouissement du DALIAF).

J’en ai également profité pour ramasser la brochure Guide des livres d’ici pour les jeunes 2011-2012 préparée par Communication-Jeunesse (la sélection annuelle des titres jeunesses est également disponible en ligne). Je me disais que ça pourrait toujours être utile…

A Magazine Is an iPad That Does Not Work!

Someone at the book fair brought to my attention this funny (and viral it seems) video:
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Think whatever you want of it, document.write(“”); it is cute.

Julia & Roem: l’Apps

“Après un «coup de sang» environnemental apocalyptique et dévastateur, document.write(“”); la planète s’apaise et se recompose. Dans une géographie chamboulée, au cœur d’un nouveau désert, quelques survivants tentent de s’organiser dans ce nouveau monde. Sous le regard amusé d’un aumônier multiconfessionnel, les acteurs se mettent en place pour rejouer, malgré eux, la plus universelle des tragédies amoureuses… Parviendront-ils à s’écarter de la route qui semble toute tracée devant eux?” (Présentation sur l’Apps Store)
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Cette application adapte en format électronique pour l’iPad la plus récente BD de Bilal. Pour l’histoire, je vous renvoi au
commentaire que j’ai fait sur la bande-dessinée elle-même.

Cette application offre une approche différente de la lecture de bande-dessinée. Chacune des cases défile sur l’écran comme un diaporama, avec une trame sonore originale (par Goran Vejvoda). Il n’y a pas de bulle mais à la place on a soit le texte qui apparait en sous-titres, ou une version racontée du texte (la narration est d’ailleurs faite par Enki Bilal lui-même!). On peut zoomer sur les détails des images. C’est assez intéressant, mais, si j’apprécie bien les formats électroniques, je dois avouer être tout de même un peu traditionnaliste dans ma lecture de BD (ou de comics) et j’aime bien avoir d’abord une vue d’ensemble de la planche et de pouvoir zoomer ensuite sur les cases et les textes (approche que l’on retrouve dans des applications de lecture comme Comics par ComiXology par exemple).

Petite démonstration:

C’est cool, non?

J’adore l’idée de lire en format électronique une bande-dessinée européenne, et une de Bilal encore plus. Toutefois, ce qui est domage c’est que l’on ait pas le controle sur la vitesse de défilement des cases (à moins de faire “pause” et d’avancer manuellement, mais les boutons de controles restent alors en filigrane, ce qui nuit beaucoup à la lecture). Mais ce qui m’embête énormément avec cette application c’est que lorsque la description me dit “cette application vous propose l’intégralité de la bande dessinée Julia & Roem,” je m’attend vraiment à avoir l’intégralité de la BD. Je me disais d’ailleurs que $5.99 c’était vraiment toute une aubaine (alors que la BD en soi est $32.95)! Après avoir acheté l’application, je me rend compte qu’elle ne contient que la première partie de l’histoire et qu’il me faudrait payer un autre $3.99 pour une deuxième partie et un autre $3.99 pour une troisième. Il y a combien de partie comme ça? Est-ce que ça se termine vraiment avec la troisième partie? C’est pratiquement une arnaque! Bon, la première partie est un peu plus chère parce qu’elle inclue l’application comme telle et les bonus (un entretien avec Bilal, de l’info sur la bande-originale, une biographie, une bibliographie et une filmographie de Bilal, ainsi que quelques liens internet). Et même à $13.97, c’est quand même moins chère qu’acheter la BD papier… Mais je m’attendais quand même à mieux de Casterman…

Je suis donc plutôt décu. Mon $5.99 m’a tout de même permis d’expérimenter avec le format, mais j’ai quand même préférer lire la BD papier. Je recommande cette application seulement s’il vous faut vraiment sauver de l’argent et si vous voulez expérimenter une façon “différente” de lire une BD. Sinon, il y a toujours les bibliothèques publiques!

Julia & Roem a été créé par les Éditions Casterman en juillet 2011 (la version 2.0 est parue en août avec les chapitres 2 et 3). L’application est disponible, en français seulement, dans la catégorie “books” (ou “Livres numériques” en français) de l’iTunes Store (tant US, CA ou FR) pour 4.99 EUR (ou $5.99 US/CDN). D’une taille de 277 MB, elle est compatible avec tout iPhone, iPod touch, et iPad qui opèrent avec la version iOS 3.1.3 ou plus. Recommandé pour 12+ ans (Rares/légères scènes de violence fictive; Rares/légères scènes de consommation ou de référence à l’alcool, au tabac ou à la drogue).

Julia & Roem © Casterman 2011 • Enki Bilal.

Sony Reader hands-on

This summer I commented on the Bookeen Cybook Opus ebook reader. The public libraries network where I work was lending eBook readers to some members of the staff in order to get feedback on the idea of using and lending such readers to patrons. In September, document.write(“”); a colleague had let me borrowed for a week another reader he had received for evaluation. I could finally have the eagerly awaited hands-on experience with the Sony Reader.
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My first impression of the Sony Reader was one of disappointment. I had only seen it in a display case or in the hands of commuters on the subway and it seemed pretty sleek then. But in my hands it felt rather cheap (no more, no less than the Cybook Opus, but the metal finish can be deceptive) and the quality of the display was not as sharp as I expected. Considering the original price difference (however, with a recent price reduction, the Sony is now less expensive than the Cybook Opus!), I was expecting more from the Sony Reader. After trying it out, I found that it had not much more functions than the Opus. Of course, here it is important to precise that the model provided by the library network (as it was for the Cybook Opus) was an older model.

The Sony Reader PRS-600 is larger than the Cybook Opus (6.9 x 4.8 x .4 inches) and is nearly twice as heavy (10.1 oz/286 g). It also offers a slightly bigger Monochrome E Ink touchscreen (6 in.) with similar resolution (same 800 x 600 pixels but with twice (at 8) the grey scale levels). I don’t have any details on its processor, but it has only 512 MB of memory (enough for about 350 books, which is less than the Opus, but it can be expended with Memory Stick Duo and SD Card up to 16GB). Its rechargeable Lithium-Ion battery is good for about two weeks or 6,800 to 7,500 continuous page turns (slightly less than the Opus). It supports the DOC, PDF, RTF, TXT, BBeB, EPUB, BBeB DRM text formats, the BMP, GIF, PNG, JPEG image formats and the AAC, MP3 audio formats (that’s more text formats than the Opus, which also cannot play audio at all).


The PRS-600 features also includes highlighting & annotation capability (although limited), five adjustables font sizes to improve readability, and a built-in dictionary (2nd edition of the New Oxford American Dictionary). It comes with a USB cable, a cover sleeve, but (unlike the Opus) there is no mention of pre-loaded books. It is offered in three colors: silver, black, and red. Originally priced at $250 CDN, then reduced at $170 CDN, it is now a discontinued model.

In summary, the Sony Reader PRS-600 is larger (but heavier) than the Opus, and has less memory as well as a slightly shorter battery life. However, it has the definite advantage of supporting more text and audio formats as well as having a touch screen. It compares well with the Opus because of its nicer design and the fact that it is lightweight and quite portable (but it lacks the Opus’ pre-loaded books and accelerometer). Being an open format device, it is also more versatile than most of the other popular readers (like the Kindle or the Nook, which only offer proprietary formats and online stores) as it can read multiple formats (particularly the Epub format which is becoming the new standard of the book industry) and you can purchase books not only from Sony online store but from any online bookstores.

Basically, the Sony Reader PRS-600 has only two main problems: it has no wireless connectivity (you must be plugged to a PC to download books) and its screen really doesn’t look as good as it should (resolution, contrast and a reflection problem under bright light could all be improved; the touchscreen isn’t as responsive as it could be [like the iPad for example], there’s no contrast adjustment and no backlight to help read in darkness). I might also add that the annotation feature is rather cumbersome to use and the battery is not removable (same problem with the iPad: it is soldered to the board).

Fortunately, since the release of the PRS-600, Sony has considerably improved its line of Reader. In September, it has announced three new models and two of those were immediately available: the Touch Edition / PRS-650 (6 inch., improved touch-screen and 16-levels grey scale, 2 GB memory, 7.6 oz (215 g), $229 US / $250 CDN) and the Pocket Edition / PRS-350 (same but with 5-inch touch-screen, 5.5 oz (155 g), $179 US / $150~$200 CDN; this model seems to have received pretty good reviews). The third model will be released in November: the Daily Edition / PRS-950 (same but with 7-inch touch-screen, .5 pound, and WiFi connectivity, $299 US).

Of course, Sony’s Readers might still be more expensive than the Kindle or the Nook but, because of their design, portablility, touchscreen and greater versatility, I would definitely recommend any of them for use in a library environment. However, for a personal use (if you want a device that is more than a reader, like a netbook, and don’t mind paying a lot more), my first choice will always be the iPad.

I am still not very enthusiastic with the idea of lending ebook readers in libraries. I know that it is already being done in some libraries in the USA, but I feel that doing so would be looking for trouble. A colleague made the interesting comment that we were lending Dvds without the Dvd player, so why should we also lend the ebook reader? (the point is sound but another librarian found arguments to ridicule his comment — in french). I guess we should just wait and see how it goes for the libraries who have reader-lending on trial.

In any case, if you have the opportunity to try (or the budget to buy) a eBook reader, you should not hesitate. It is a liberating experience.

Press Release: Tokyopop & Zinio Announce the Launch of Digital Manga Editions

Los Angeles, document.write(“”); CA (June 25, 2010) — Tokyopop, the leader of the global manga revolution, and Zinio, the world’s top digital publishing distribution service, today announced a partnership that offers more than fifty volumes of manga, available immediately for digital download to your PC and Mac by visiting www.Zinio.com/tokyopop.
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Dozens of volumes now available to download to your computer

The debut list of titles for sale includes the bestsellers Bizenghast, Dramacon, and Princess Ai; manga-adapted-to-film series such as The Dreaming and Van Von Hunter; the groundbreaking shonen-ai hit Gravitation, and Jim Henson’s Return to Labyrinth and Legends of the Dark Crystal. Release dates for future titles, including Min-Woo Hyung’s Priest, inspiration for the Spring 2011 3-D film from Sony/Screen Gems, will be announced and made available for digital download soon.

Stu Levy, Tokyopop’s founder, producer of the upcoming films Priest and The Dreaming and director of Van Von Hunter, each based on the company’s manga series, says, “I have always been a strong advocate for digital-in fact, my DNA is made entirely from 0’s and 1’s. The manga lifestyle is rapidly moving online and we are committed to finding the best experience possible in that medium. Zinio offers the top online reading experience, and their team is committed to providing a 360º accessibility.”

For consumers, Zinio enables the ability to shop for, search inside, read, share, and save digital content to your computer. Similar to thumbing through the print edition at a local bookstore, readers of Tokyopop digital versions can preview pages of each manga, free of charge.

“More than a decade ago, Tokyopop introduced manga to America, building a category that has been embraced by millions of teens,” says Rich Maggiotto, President & CEO, Zinio. “We’re thrilled to have a partnership that will offer loyal and new manga readers these digital editions.”

Initially, most manga on the launch list will sell for a material discount, $5.99 per volume, while some larger volumes, such as the Gravitation collection–a two-volume omnibus edition–are priced at $7.99. For a complete list of titles, please visit www.Zinio.com/tokyopop.

About TOKYOPOP:
Founded by multi-cultural media visionary Stu Levy, Tokyopop is hailed as a leading youth-oriented entertainment brand and an innovator of manga creation, with a revolutionary artistic vision that transcends countless platforms. From the introduction of the first-ever extensive manga publishing program in North America, to the development of its manga-originated intellectual properties into film, television and digital entertainment, Tokyopop has changed the way teens experience pop culture. The company’s global reach has expanded to Europe and Asia, with offices in the UK and Germany, in addition to its Los Angeles and Tokyo operations. With millions of fans logging onto the new social networking site www.Tokyopop.com, reading its books, which are licensed in 50 countries in more than 30 languages, and watching its DVDs and television programs, Tokyopop’s award-winning catalogue of licensed and original properties has made the company a visionary in an ever-growing teen entertainment marketplace. Visit www.Tokyopop.com for additional information.

About Zinio:
Zinio is the world’s newsstand and bookstore. With its many digital products and services, Zinio creates better ways for people to discover published content, get more of it and do more with it. Now, readers can purchase content once to be read on any screen. Zinio provides the ability to shop for, search inside, read, share and save digital content in 23 local newsstands in any country in the world. Through the ZINIO UNITY™ reading platform, readers can move seamlessly within each publication page between text, interactive graphics, animated illustrations, videos and much more. Offering hundreds of thousands of the best digital titles, Zinio’s e-stores and applications are revolutionizing reading. Founded in 2001 and privately held, Zinio is headquartered in San Francisco and has offices in New York, London, Paris, Barcelona and Taipei.

# # #Note: Available at this moment there are twenty-one volumes of the titles Afterlife, Earthlight, Gyakushu!, Riding Shotgun, Tarot Cafe, The Dreaming, Van Von Hunter for $5.99 US ($6.27 CA) each.

Lecture sur iPhone

Le 14 novembre dernier Le Devoir faisait paraître un article intitulé “Plus de lecteurs que de joueurs sur le iPhone” (le lien ne renvoi malheureusement pas à l’article complet étant donné que, document.write(“”); contraitement à la Gazette ou à La Presse, la version digitale intégrale du Devoir n’est disponible que par abonnement).
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L’
article fait état d’une étude qui démontre que récemment plus de livres numériques ont été téléchargé sur les iPhone et iPod Touch d’Apple que de jeux vidéos (en fait 20% des applications téléchargées seraient des ebooks). C’est surprenant quand on sait que le marché des jeux vidéos sur téléphones intelligents est en pleine croissance justement à cause de la venue du iPhone.

L’impact de l’iPhone et de l’iPod Touch (que l’article nomme “iTouch”) sur l’industrie du livre numérique pourrait donc être immense étant donné qu’ils représentent déjà un marché de 57 millions d’usagers. C’est un marché beaucoup plus vaste que celui du lecteur (livrel) Kindle d’Amazon. Apple pourrait donc se positionner d’une façon très avantageuse dans le marché du livre numérique. Pour l’instant, Apple est désavantagé par le petit écran de ses lecteurs (3.5 po — et non 6 po comme mentionné dans l’article; 6 po c’est la taille de l’écran du Kindle), mais si la rumeur du lancement en 2010 d’un lecteur avec un plus grand écran (la fameuse “tablette”) s’avérait vrai, alors Apple prendrait définitivement la tête du marché (et je serais l’un des premiers à acheter un tel produit — sinon je devrai éventuellement me rabattre sur un Kindle, maintenant disponible au Canada). L’abonnement à The Gazette est d’ailleurs depuis peu disponible sur Kindle.

Livres numériques en français

Ces dernières années nous avons vu apparaitre aux États-Unis une abondance de sites internet offrant des livres numériques (les fameux eBooks): Amazon.com, document.write(“”); Barnes & Noble, Borders, Sony et beaucoup d’autres. Protoculture offre déjà depuis plusieurs années ses titres les plus récents en format numérique.
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De telles boutiques virtuelles ont également commencé à faire leur apparition en France (comme
Numilog ou le site de la FNAC par exemple, quoique nos cousins Européens semblent plus portés vers les documents gratuits comme c’est le cas avec Gallica) mais jusqu’à très récemment il n’y avait rien pour le marché francophone nord-américain.

The Gazette nous apprends ce matin que Archambault et Sony se sont associé pour nous offrir une boutique virtuelle de livres numériques: Jelis.ca.

Cela permettra à Sony de vendre son lecteur électronique au Québec (quoiqu’un lecteur n’est pas nécessaire pour lire les titres acheté sur Jelis.ca) et à Archambault d’entamer un marché encore vierge puisque Kindle, le lecteur électronique d’Amazon, n’est pas disponible à l’extérieur des USA.

Il est intéressant de noter que plusieurs titres de l’éditeur de genres Alire sont disponible sur Jelis.ca.

Je ne crois pas que le livre imprimé soit menacé par le livre numérique, qui ne représente qu’un nouveau format de publication comme l’est le livre de poche ou le livre audio. Et l’expension du marché du livre numérique est grandement limitée par les prix des lecteurs électroniques ($260 à $600 dépendant des cas) et celui des livres numériques eux-même. En effet, dans la plupart des boutiques virtuelles de livres numériques, ceux-ci sont vendu au même prix que le livre imprimé, ce qui est ridicule considérant que ce produit n’encourt aucun coût d’impression et des frais de distribution moindre (seulement le pourcentage que prends le détaillant virtuel). Théoriquement, un tel format devrait offrir à l’éditeur un revenu plus grand et, au lecteur, un coût d’achat moindre (d’à peu près 30%). Mais ce n’est pas encore le cas. Toutefois, c’est un format qui a de l’avenir.