Images du chat-medi

Caramel, document.write(“”); ornithologue
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Caramel's birdwatchingWhat? I'm just birdwatching
(iPhone 6s, 2016-02-27)

Image du mer-fleurie

Pour égailler ce milieu de semaine glacé / To cheer up this icy midweek
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Rosier Grandiflora / Grandiflora rose
Rosaceae: Rosa “Erin Fleming”
Erin Fleming
(iPhone 6, document.write(“”); Jardin botanique, 2015-07-05)

Étrangement, ces jours-ci, j’écoute la télé-série Fleming: The man who would be Bond (quoique, à part du nom, Erin Fleming a plus en commun avec Groucho Marx qu’avec le père de 007).

Images du chat-medi

Caramel dans le bureau / Caramel in the study
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Caramel
CaramelCaramel
CaramelCaramel
(iPhone 6s, document.write(“”); 2016-02-15)

Image du mer-fleurie

Pour égailler ce milieu de semaine enrhumé / To cheer up this infectious midweek
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Rosier arbustif / Shrub rose
Rosaceae: Rosa “Grandma’s Bailey”
Grandma's Bailey
(Canon PowerShot S5 IS, document.write(“”); Jardin botanique, 2015-07-05)

Les bibliothèques de Montréal à la traine

Un récent article dans The Gazette (2016/01/22 pg A1-A2) révélait que la Ville de Montréal est à la traîne des banlieues en regard des heures d’ouverture des bibliothèques.
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“A Montreal Gazette analysis of operating hours shows that, document.write(“”); compared to those in the city of Montreal, libraries in Montreal Island suburbs tend to have longer hours that are more convenient for people who work or go to school during the day.”

Huit des treize banlieues de l’Ile de Montréal offrent considérablement plus d’heures d’ouverture par semaine que les bibliothèques de la Ville de Montréal: Côte-St-Luc offre le plus d’heures (72 heures), suivie de Dollard-des-Ormeaux (71 hrs), Dorval, Kirkland, Westmount (69 hrs chacune), Pointe-Claire (67 hrs), Town of Mount-Royal (64 hrs) et Beaconsfield (63 hrs). Il faut noter que la bibliothèque de Côte-St-Luc ouvrait jusqu’à récemment 84 heures par semaine (de 10h à 22h) mais les heures ont été coupé au début janvier, la bibliothèque fermant maintenant à 18h les vendredis et le week-end. Exceptionnellement, cette bibliothèque ne ferme d’ailleurs jamais pour les fériés et reste ouverte 365 jours par année!

Les deux arrondissements de la Ville de Montréal offrant le plus d’heures d’ouverture sont LaSalle (65 heures) et Montréal-Nord (62 heures) — deux ex-banlieues qui se sont fusionnées en 2001! La plupart des arrondissements (neuf d’entre eux) n’offrent que 53 heures d’ouverture. Les pires arrondissements sont Mercier-Hochelaga-Maisonneuve (49.25 heures) et Côtes-des-Neige-N.D.G. (46 heures)! Mais ce sont tout de même des (petites) banlieues qui se retrouvent au bas de la liste: Montreal-West (avec 32.75 heures) et Baie d’Urfé (avec 31.5 heures). Il n’en demeure pas moins que la ville de Montréal pourrait (et devrait) faire beaucoup mieux!

Malgré un certain effort pour améliorer la situation ces dernières années, le problème est beaucoup plus profond que de simple heures d’ouverture.

Il y a quelques années un article sur le site de Ici-Radio-Canada (2014-11-07) révélait que la ville estimait avoir besoin d’une dizaine de bibliothèques supplémentaires afin de bien desservir la population montréalaise et de rattraper son retard sur les grandes villes canadiennes.

“L’an dernier [2013], les bibliothèques de la Ville de Montréal enregistraient 6,7 millions de visites, en hausse de plus de 4 % par rapport à 2010. Le nombre de prêts est aussi en progression, à 11,4 millions en 2013.”

C’est pourquoi la ville a entreprise de nombreux projets pour agrandir, rénover et construire de nouvelles bibliothèques. Ainsi la bibliothèque de Saul-Bellow a été agrandie et trois nouvelles bibliothèques ont récemment vu le jour: Du Boisé, Marc-Favreau et Benny-Farm.

Mais est-ce assez pour rattraper l’important retard que la ville accuse vis-à-vis des grandes villes canadiennes?

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Je me souviens d’avoir vu il y a plusieurs années (juillet 2005) un rapport établissant le “Diagnostic des bibliothèques municipales de l’Île de Montréal” et Montréal était à la traine des autres grandes ville canadiennes à tout les niveaux:

  • Superficie : les bibliothèques de la ville de Montréal offrent en moyenne 57 m2 par 1000 habitants alors que ce nombre atteint 82.3 m2/1000 hab. à Vancouver et 63.2 m2/1000 hab. à Toronto.
  • Nombre de livres : avec ses 4.5 million de livres, le réseau des bibliothèques de Montréal se retrouve au 4e rang en n’offrant qu’une moyenne de 2.3 livres par habitant alors que ce chiffre est de 4 livres/hab. à Vancouver et de 3.5 livres/hab. à Toronto.
  • Taux de pénétration : le pourcentage des abonnés actifs parmi la population desservie est de 37.8% à Montréal, ce qui place la ville en dernière position (8/8) dans le palmarès des villes canadiennes de 500 000 habitants et plus. Ce même taux est de 67.7% à Vancouver et de 62.6% à Toronto!
  • Dépenses : la ville de Montréal n’investit dans ses bibliothèques que $38.3 per capita ce qui la place au 3e rang, alors que Vancouver investit $63.9 per capita et Toronto $53.1 per capita. “Comme la moyenne des dépenses per capita des grandes bibliothèques canadiennes est de 43,4 $, ce qui représente un investissement de 113,3 % par rapport à celui de Montréal, cela entraîne un écart négatif de 5,1 $ ou 11,8 %.”
  • Personnel : de plus, avec ses 861 employés de bibliothèques et ses 158 bibliothécaires, la ville de Montréal a un déficit de 72 bibliothécaires et de 262.9 employés par rapport à la moyenne des grandes villes canadiennes. Le taux de bibliothécaires par 6000 habitants y est de 0.52 ce qui la place au 5e rang par rapport à Vancouver (1.32) et Toronto (1.05). Avec un taux de 0.95 employé par 2000 habitants, Montréal se classe au 6e rang! L’écart est particulièrement disproportionné dans le cas des employés affectés à la planification du réseau : 8.2 personnes-année (0.9 % de l’ensemble du personnel) à Montréal alors qu’on en retrouve 69,7 personnes-année à Toronto (3.8 % du personnel)!

Bien sûr, ces chiffres datent de plus de dix ans et les choses se sont certainement améliorées depuis mais l’écart de Montréal par rapport au reste du pays reste honteux. Et il risque de le rester quand on a des dirigeants qui semblent penser que la culture devrait être “rentable” et qu’ils coupent dans la culture au lieu d’y investir.

Pourtant l’impact positif des bibliothèques sur le développement de la population (en alphabétisation, littéracie, intégration des nouveaux arrivants, recherche d’emploi (impact économique), aide aux devoirs et à la recherche, développement personnel, culture générale, socialisation, santé, etc) —- particulièrement dans le cas de la population défavorisée et vulnérable (personnes à faible revenu, personnes âgées, etc) —- est déjà clairement et indubitablement établi. Selon l’UNESCO, les bibliothèques ont une mission d’éducation, de culture et d’information.

Malheureusement, beaucoup de gens semblent encore penser que, de nos jours (avec l’internet), les bibliothèques sont devenues inutiles! Les gens aisés tendent à oublier que ce n’est pas tout le monde qui a l’internet ou qui peut se payer des livres, des encyclopédie ou des dictionnaires! Le bénéfices générés par les bibliothèques ne se calcul pas en dollars ou en valeur économique, mais en développement social, culturel, intellectuel et scientifique, ce qui est indispensable à toute société. Elles sont le temple du savoir humain. Qu’on se le dise! Si on veut VRAIMENT aller plus loin, il faudra faire plus pour nos bibliothèques!

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Image du chat-medi

Saya & Caramel
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(iPhone 6s, document.write(“”); 2016-02-06)

Découverte: Revue Collection Vol. 3, No 1

J’ai découvert par hasard cette semaine qu’un nouveau numéro de la revue Collections était maintenant disponible. J’ai déjà parlé de ce périodique à l’automne (dans le cadre de la première partie de mon essai sur les genres littéraires). Collections c’est une revue de la littérature d’ici pour les bibliothèques d’ici publiée par l’ANEL (l’Association Nationale Des éditeurs De Livres) sous forme imprimée et électronique (livrel). Publiée six fois l’an, document.write(“”); chaque numéro de la revue “aborde (…) un thème spécifique, le tout dans un cadre visant à faciliter le développement des collections et la création d’activités par les bibliothécaires”.
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Le plus récent numéro, le vol. 3 No 1 (publié en février 2016), est consacré à l’histoire et à la politique. Dans ce numéro “Découvrez tout ce qui se prépare sur le 375e anniversaire de Montréal, apprenez à connaître les personnages historiques à travers leur biographie, parcourez la liste des livres jeunesse, etc.” Ici il est moins question de littérature historique ou politique mais surtout de documentaires sur l’histoire et la politique: biographies de personnages historiques, l’histoire sociale au Québec, essais sur la société et la politique québécoise, etc. On parle tout de même de la politique et de l’histoire dans la fiction (pour adultes mais aussi pour la jeunesse).

La revue est disponible dans certaines bibliothèques et sur le site de l’Entrepôt du livre numérique de l’ANEL (en format PDF).

C’est une ressource très intéressante et pas seulement pour les bibliothécaires mais pour tout les intervenants et fervents de livre et de savoir.

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Image du mer-fleurie

Pour égailler ce milieu de semaine frisquet / To cheer up this chilly midweek
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Rosier Grandiflora / Grandiflora rose
Rosaceae: Rosa “Strike It Rich”
Strike It Rich
(iPhone 6, document.write(“”); Jardin botanique, 2015-07-05)

Image du chat-medi

Caramel sleeping
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(iPhone 6s, document.write(“”); 2016-02-03)

Image du mer-fleurie

Pour égailler ce milieu de semaine pluvieux / To cheer up this rainy midweek
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Rosier floribunda / Floribunda rose
Rosaceae: Rosa “Kosmos Fairy Tale”
Kosmos Fairy Tale
(iPhone 6, document.write(“”); Jardin botanique, 2015-07-05)

Joséphine Impératrice (4)

“Pour permettre à Napoléon d’accéder à la gloire, document.write(“”); Agathon devient officier de son état major. Il manque d’y perdre la vie, mais le jour tant attendu du couronnement arrive enfin. Mais, que réserve l’avenir au couple le plus célèbre de l’histoire ?”
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“La dernière partie des aventures de Joséphine, la célèbre épouse de Napoléon!”

[ Texte du site de l’éditeur; voir aussi la couverture arrière ]

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ATTENTION: Peut contenir des traces de “spoilers”! Les personnes allergiques à toutes discussions d’une intrigue avant d’en avoir elle-même prit connaissance sont vivement conseillé de prendre les précautions nécessaires pour leur sécurité et ne devraient poursuivre qu’avec circonspection.

Joséphine Impératrice (?????????? / Bara no Josephine / lit. “Les roses de Joséphine”) est un manga sh?jo romantique et historique écrit par Kaoru Ochiai et illustré par Yumiko Igarashi. Prépublié en feuilletons dans Princess Gold, le magazine mensuel sh?jo de Akita Shoten, entre septembre 2011 et décembre 2013, il a été compilé en un premier volume en mai 2012 et le quatrième (et dernier) volume est paru en avril 2014. Il a été traduit en français chez Pika Éditions au début octobre 2013. Un second volume a suivi à la fin octobre, puis un troisième en mars 2014 et, finalement, le quatrième volume français est paru en juillet 2014. Voir mon commentaire sur le premier volume pour plus de détails sur l’auteur et la série.

Le 9 mars 1796, Napoléon épousa Joséphine, au cours d’un mariage modeste à la mairie de Paris. Toutefois, comme Napoléon était en retard à cause d’une réunion d’état-major, le maire s’impatientât et quitta, ce qui fait que la cérémonie fut officié par l’adjoint du maire. De plus, Napoléon et Joséphine n’inscrivent même pas leur véritable dates de naissance (elle pour se rajeunir et lui pour se vieillir!). Deux jours plus tard, Napoléon et Agathon quittent pour faire campagne en Italie afin de libérer la Lombardie et le Piémont de l’occupation autrichienne. Agathon, en fin stratège, se fait accompagné d’un journaliste et d’un dessinateur qui rapporteront dans un journal parisien tout les faits et gestes de Napoléon en les présentant sous un jour favorable. En agissant ainsi Agathon espère se faire l’architecte de la gloire de Napoléon. Pendant ce temps, Joséphine est la coqueluche des salon parisiens et gagne le coeur tant du peuple que de la haute société [ci-haut: page 49].

Napoléon écrit régulièrement à Joséphine et lui envoie des trésors d’or et d’art provenant des tributs et du pillage de sa campagne. Toutefois, celle-ci ne lui répond pas ce qui inquiète le général et le distrait de son devoir militaire. Les conseillers du directoire et Agathon trouvent une solution en convainquant Joséphine de rejoindre Napoléon en Italie. Elle s’installe au palais Serbelloni de Milan. Il peut alors se consacrer au siège de Mantoue, où les Autrichiens résistent toujours. Avant leur départ, Joséphine remet à Napoléon et Agathon un foulard porte-chance. Mais Pauline, la soeur de Napoléon, voit Joséphine sortir de la chambre d’Agathon et assume qu’ils ont une liaison. Elle écrit donc une lettre pour en avertir son frère. Les relations de Joséphine avec sa belle-famille sont à leur pire et la mère de Napoléon jure de les séparer.

Jaloux de l’intimité dont Agathon jouit avec Joséphine, Napoléon l’envoi au front en tant que porte-étendard lors de la bataille du pont d’Arcole, espérant qu’il périsse. Quoiqu’il change d’avis, Agathon, pour protéger le général, ne lui laisse pas prendre l’étendard et est gravement blessé. Bien sûr, la propagande fera que l’histoire se souviendra que c’est Napoléon lui-même qui portait l’étendard. Dans son délire, Agathon murmure qu’il aura une mort digne et que Joséphine n’aura pas a rougir de son petit-frère. Bonaparte comprend alors son erreur: Agathon est le demi-frère de Joséphine ce qui explique l’affection qu’ils partagent! Lorsqu’Agathon se réveille, Eugène est a son chevet. Il a maintenant rejoint l’armée comme membre de l’état-major de Napoléon.

Après la bataille de Rivoli, le siège de Mantoue prends fin lorsque la ville capitule. Emporté dans son élan, Napoléon poursuit son offensive vers Vienne et obtient un traité de paix avec les Autrichiens. Il est de retour à Paris en décembre 1797 mais, six mois plus tard, comme l’Angleterre demeure en guerre, il repart faire campagne, cette fois en Égypte, afin de de couper le contact entre les anglais et leur riche colonie de l’Inde. Mais suite à l’incompétence du Directoire la marine française est anéanti par Nelson et Napoléon se retrouve isolé, sans ravitaillement, abandonné en Egypte. Pour faire face à une deuxième coalition et à la monté des mouvements royalistes contre-révolutionnaires, Bonaparte n’a pas le choix: il ignore ses ordres, fuit l’Égypte et rentre à Paris avec ce qu’il lui reste de troupe afin de renverser le Directoire grâce à son large support populaire! Le Directoire est dissous en décembre 1799 et Napoléon devint le premier consul de la République.


Napoléon achète pour Joséphine le chateau de Malmaison. Il commence alors son oeuvre politique pour consolider l’État et la société française: il signe des traités de paix avec le membres de la coalition, particulièrement avec l’Angleterre, il réconcilie la France et le Saint-Siège, publie le Code Civil, etc. Après plusieurs complots et attentats il doit réprimer l’opposition. Finalement, en 1804, à la demande du Sénat et avec l’approbation du peuple par plébiscite, Napoléon est nommé Empereur des français. Comme leur premier mariage civil n’était pas vraiment valide, Napoléon et Joséphine sont marié religieusement par le Cardinal Fesch. Napoléon peut alors, sans entrave, être sacré Empereur [ci-haut: pages 152-153].

En mars 1805, Napoléon est également sacré roi d’Italie et monsieur Eugène (fils de Joséphine) est nommé vice-roi (et sera également marié à la princesse Augusta-Amélie de Bavière). Napoléon nomme son frère, Louis (qui a marié le fille de Joséphine, Hortense), roi de Hollande. Son fils Charles est l’héritier en titre de Napoléon, mais sa mort prématuré, à l’âge de quatre ans, remet toute la succession en question. Sous la pression de sa mère, le cabinet demande à Napoléon de divorcer Joséphine afin d’épouser une princesse plus jeune et avoir un successeur pour garantir la sécurité et la stabilité de l’Empire. Napoléon résiste mais c’est Joséphine elle-même qui l’en convainc [ci-contre: page 168]. Elle conservera son titre d’impératrice et se retirera à Malmaison pour cultiver des roses (plus de 250 espèces — d’où le titre Japonais original du manga, Les roses de Joséphine) et des plantes exotiques du monde entier.

Napoléon épousera Marie-Louise d’Autriche, qui lui donna un fils, Napoléon II, qui ne règne jamais sur la France. Après son divorce, la chance de Napoléon tourne: une nouvelle coalition contre la France l’amène à une désastreuse campagne de Russie en 1812. Défait, Napoléon doit abdiquer et est exilé sur l’Île d’Elbe. La monarchie est brièvement restaurée.

Lors d’une visite du tsar Alexandre Ier à Malmaison Joséphine a un malaise (en fait, elle prend froid et attrape une pneumonie) et meurt peu de temps après (mai 1814). Ses dernières paroles furent pour Bonaparte. Après s’être échappé d’Elbe en mars 1815, Napoléon revint à Malmaison et pleura dans la chambre de Joséphine. Après un bref retour au pouvoir et sa défaite à Waterloo, Napoléon sera exilé à nouveau, cette fois sur l’Île Sainte-Hélène où il meurt en mai 1821. Ses dernières paroles auraient été pour Joséphine. Ils auront été amant jusqu’au bout…

Je dois avouer que la lecture de Joséphine Impératrice est une excellente façon de rafraîchir (très brièvement) ses connaissances sur l’Histoire de France. Et, dans l’ensemble, cette série est un magnifique exemple (par le thème mais surtout par son superbe style graphique) de manga sh?jo. Toutefois, ce volume en particulier est un peu moins intéressant, car le récit est un peu précipité vers la fin. De plus, la véracité du détails des événements historiques (quoique l’essentiel est vrai il faut dire), des motivations des protagonistes ainsi que la caractérisation des personnages (je doute sérieusement que Joséphine ait accepté le divorce aussi gracieusement!) est plutôt suspect. Quoiqu’il en soit c’est une lecture agréable qui nous offre un très bon manga romantique et historique. A lire absolument!

Joséphine Impératrice, vol. 4, écrit par Kaoru Ochiai et illustré par Rumiko Igarashi. Boulogne: Pika Éditions, juillet 2014. 192 pgs, N&B, 11.5 x 18.0 x 1.4 cm, 7,50 € / $12.95 Can, ISBN  978-2-8116-1523-9. Sens de lecture japonais. Recommandé pour adolescents (12+).
Pour plus d’information vous pouvez consulter les sites suivants:

Voir aussi mes commentaires sur les volumes précédents:
Bara no Josephine © Kaoru OCHIAI / Yumiko IGARASHI / Visions 2014 / AKITA SHOTEN.

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