“Un parcours hors du commun qui va nous mener du Japon d’après-guerre jusqu’en 2001 et la sortie du film Metropolis. Un parcours fait de rencontres, d’opportunités, de soirées interminables, de jazz, de cigarettes, mais surtout de cinéma. Une passion qui lui a été transmise par son père et qui lui donnera très tôt l’envie de devenir réalisateur. Et c’est le cinéma d’animation qui lui offrira cette opportunité. Autre figure incontournable de ce parcours, celle d’Osamu Tezuka auprès duquel il va travailler des années, notamment sur la première série d’animation : Astro. Puis Rintaro prendra son envol et se verra confier la réalisation d’autres œuvres auxquelles il apportera sa créativité et qui deviendront des réalisations clés de l’histoire de l’animation japonaise : Le Serpent blanc, Sabu et Ichi, Capitaine Albator, Galaxy Express 999, etc. Si le cinéma d’animation japonais est devenu une référence mondiale, c’est en bonne partie grâce à lui.” [Texte du site de l’éditeur]
“Quand un maître de l’animation japonaise se lance dans la création de sa première BD, c’est pour nous raconter son histoire. Un parcours hors du commun qui va nous mener du Japon d’après-guerre jusqu’en 2001 et la sortie du film Metropolis. Un parcours fait de rencontres, d’opportunités, de soirées interminables, de jazz, de cigarettes, mais surtout de cinéma. Une passion qui lui a été transmise par son père et qui lui donnera très tôt l’envie de devenir réalisateur. Et c’est le cinéma d’animation qui lui offrira cette opportunité. Autre figure incontournable de ce parcours, celle d’Osamu Tezuka auprès duquel il va travailler des années, notamment sur la première série d’animation : Astro Boy. Puis Rintarô prendra son envol et se verra confier la réalisation d’autres œuvres auxquelles il apportera sa créativité et qui deviendront des réalisations clés de l’histoire de l’animation japonaise : Le Serpent blanc, Sabu et Ichi, Capitaine Albator, Galaxy Express 999, etc.” [Texte de la couverture arrière]
(Attention, lire l’avertissement de possibles divulgâcheurs)
Cette autobiographie en manga du réalisateur Rintarô (Shigeyuki Hayashi de son vrai nom) est un ouvrage extraordinaire. Car non seulement il raconte le déroulement de sa jeunesse et de sa carrière, mais c’est aussi toute l’histoire de l’animation japonaise qu’il nous décrit. Le seul bémol est qu’il le fait dans un style graphique très dépouillé qui n’utilise que de simples traits d’encrage ou de crayonné, presque sans la moindre trame ou ombrage. Il a beau avoir été un grand réalisateur (mais aussi coloriste, intervaliste, superviseur, etc.), mais cela ne fait pas de lui un grand mangaka ! Toutefois la scénarisation et la narration de son récit sont excellentes. Son nom m’était familier, mais j’ai tout de même été surpris de l’importance que son travail a eue dans l’histoire de l’animation japonaise, remontant aussi loin que Le Serpent blanc en 1958 et sur des titres aussi célèbres que Astro, Le Roi Léo, Albator, Galaxy Express 999, Harmagedon, L’épée de Kamui ou encore Métropolis !
C’est donc un ouvrage très intéressant, à lire absolument si vous êtes amateur d’animation japonaise.
Ma vie en 24 images par seconde, par Rintarô (Traduction par Shoko Takahashi). Bruxelles: Dargaud / Kana (Coll. Made In), janvier 2024. 256 pages, 22.5 x 29.8 cm, 27.90€ / $C 48.95, ISBN 978-2-5050-7638-4. Pour un lectorat adolescent (14+).
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© 2024 Rintaro • Kana / Dargaud (Dargaud-Lombard s.a)
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